Critique : la playa d.c.
Le drame initiatique en favelas, qui ferait passer les premiers films de Ken Loach pour des comédies grivoises, est en passe de devenir un genre à part entière.
Le drame initiatique en favelas, qui ferait passer les premiers films de Ken Loach pour des comédies grivoises, est en passe de devenir un genre à part entière.
Lorsqu'il a fallu déterminer qui irait voir le Carlos Reygadas présenté en compétition au Festival de Cannes 2012, ça s'est joué à pierre - feuille -
« Il ne faut jamais chercher à expliquer ce que l'on ne comprend pas ». Voilà ce qu'aimait à répondre Stanley Kubrick à ceux qui lui posaient des
Une page blanche et une longue route déserte. Voilà l'image que l'on retiendra, une vingtaine de minutes avant la fin, du film.
Rarement traité à l'écran, l'infanticide fait partie de nos tabous historiques et structurels. Exposé à la lumière crue des projecteurs médiatiques, suite
On n'avait plus trop de nouvelles de Bertolucci. Il faut dire que son faiblard Innocents réalisé en 2003 avait douché les derniers espoirs des aficionados
La Pirogue retrace la tentative d'une trentaine d'africains (Guinéens, Dakarois...) de rallier l'Espagne depuis la côte Ouest de l'Afrique, entassés dans une
La lecture du nébuleux synopsis de Holy Motors devrait vous éclairer sur la défiance qui fut la nôtre avant de découvrir le dernier film de Leos Carax.
Ce n'est plus un secret pour personne : Takashi Miike est un touche à tout. En 20 ans (pour un total improbable de presque 100 films !), il s'est déjà frotté
C’est en lisant le dossier de presse du Grand soir que l’on comprend mieux pourquoi ce cinquième film du tandem Kervern - Delépine est une déception.
Andrew Dominik avait marqué les esprits avec son précédent film, L'assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford.
L'histoire, inspirée de faits réels selon la formule consacrée, de trois sœurs et de leur cousines aborigènes qui à la fin des années 60 vont se retrouver