Jojo
20/05/2020 à 10:16

Ce film est un petit bijou ! J'ai découvert Noémie Merlant grâce à ce film qui est sublime !

Micju
20/05/2020 à 01:04

Un film magnifique vraiment magnifique. Il méritait mieux aux Césars.

Babar77
20/05/2020 à 00:18

Ce truc est une perte de temps.
Un peu le même genre de nullité que Call me by your name.
Le genre qui fait artificiellement l'unanimité mais qui aussitôt l'engouement passé est vite passé à la trappe.
Le genre de films pour pseudo intellos que personne n'aurait calculé si les personnages avaient été hétéro.
Mais pour témoigner un pseudo progressisme gay friendly lgbt tralala, ils vont soudainement trouver les plus grandes qualités à la médiocrité.
Genre; waouh la perf... ah oui, j'adore aussi la photo tu vois! Oh oui c'est du Vermeer mélangé avec du Van Dyck avec une touche de Rubens. Pasticher des fragments épars de talent ne garantit pas d'en avoir. Ici c'est le vide intersidéral. Je respecte néanmoins le geste de Haenel lorsqu'elle à boycotté le pédophile.

Sanchez
19/05/2020 à 20:41

C’était beau. Sciamma méritait son cesar

Mattchupichu
06/04/2020 à 20:15

Grand film et grande critique ! Merci et bravo !

Isa
23/09/2019 à 22:46

Enfin la voilà l’histoire d’amour absolue née par et contre les conventions sociales ! la main virtuose de la réalisatrice Céline Sciamma qui peint les jeux de regards , d’esquisse et d’esquive jusqu’à l’explosion du désir ! L’histoire de l’amour féminin impossible qui ne peut être vécu que dans le souvenir sublimé par la partition de Vivaldi dans un final déchirant !

Anne Sérac
22/09/2019 à 01:23

Un grand film parfaitement construit, qui ouvre avec précision et justesse une rare parenthèse dont les hommes sont absents, laissant se déployer l'expression d'un désir féminin, hors des carcans de nos identités contemporaines, hors du carcan des mots eux-mêmes. Un film qui renoue avec une tension érotique depuis longtemps disparue, aux antipodes des crudités habituelles pourtant privées d'intensité.

la vilaine
21/09/2019 à 23:39

Beau titre, yapas...mais entre le début où tu cherches en vain le piano échoué sur la plage en même temps que la visiteuse trempée et la dernière et interminable scène où la jeune fille qui a été modèle et ne l'est plus quoique... pleure pendant tout l’Orage des Quatre Saisons de Vivaldi ....on peut aimer mais c'est loooong.
On peut, on doit aimer certes, la galerie de tableaux vivants style peinture flamande qui se déroule lentement nos yeux, on peut suivre un récit linéaire fait de symboles et de réminiscences, trouver de la beauté à la mise en scène, etc
mais la Vilaine du fond près du radiateur a trouvé qu'il y avait un souci de casting entre les deux actrices , l'une Noémie Merlant au charme fluctuant colle parfaitement à la sévérité de la société que l'on devine mais Adèle Haenel absolument pas . Et je serais bien étonnée qu'il y ait eu des femmes aussi belles soient elles, avec ce physique là, à cette époque.
L'impression qu 'on fait le grand écart entre une image figée de la société du 18eme et la société actuelle, toute en révolte et revendications. Désolée Adèle, tu fus trop bonne ailleurs.
Bref il ne lui reste que sa jolie moue et pourtant le projet a eu autre envergure si j'en coirs les articles interviews. L'histoire du portrait qui flambe, qu'on efface ça peut plaire aussi question réminiscences.
Un film de genre , si j'ose dire.
un film de femmes

jacques
20/09/2019 à 23:31

magnifique. une émotion pure un délice de la pure sensualité

Ciseaux de jambes
20/09/2019 à 18:07

Le genre de film qui me broute (le gazon).