BadTaste
24/01/2020 à 15:23

Et celui d'À toute épreuve de John Woo aussi !
Pour moi, l'une des scènes les plus folles des années 90.

BadTaste
24/01/2020 à 15:14

Excellent dossier, très complet.
Et qui donne envie de se (re)plonger dans les œuvres citées.

J'ajoute le plan séquence de Kill Bill : volume 1, dans la House of Blue Leaves.
Et dans un registre plus violent, celui de L'Honneur du Dragon, où Tony Jaa tatane une vingtaine de sbires en grimpant les étages d'une tour.

Teemo1977
24/01/2020 à 15:12

Je crois que c'était un des arguments majeurs du film, tout est dans le plan séquence.

L'autre
24/01/2020 à 15:09

Moi c'est celui de l'impasse qui m'avait réellement impressionné à l'époque car en raccord total avec le propos et l'action. Un bijou...

JohnBarry
24/01/2020 à 14:31

@Shadow the Hedgehog

Snake Eyes commence par un plan séquence de 10-12 minutes il me semble.
Plan dans lequel on suit Nicolas Cage tout du long.

Shadow the Hedgehog
24/01/2020 à 14:15

@Teemo1977
Non.

Teemo1977
24/01/2020 à 14:11

Snake Eyes n'avait il pas aussi un plan séquence?

Simon Riaux
24/01/2020 à 13:40

Oui, et c'est corrigé !

Dirty Harry
24/01/2020 à 13:38

Très bon dossier, très complet.
Si Sergio Leone avait fait son Leningrad nul doute que le début du film aurait été cité ici...
Je reste plus intéressé par l'immersion que cette technique peut offrir que par la virtuosité ostentatoire dont certains cinéastes utilisent : la virtuosité pour la virtuosité ne m'a jamais intéressé ("Timecode" ce que c'est vain...) je préfère d'ailleurs oublier que c'est un plan séquence...
(@ La Redaction : vous citez deux fois Gaspar Noé sous la rubrique consacrée à Panic Room, la répétition d'Irréversible cachait-elle l'oubli involontaire d'Enter The Void ?