Eomerkor
03/04/2024 à 10:54

@Eddie Felson
Et oui et ce n'est qu'une fraction de ce que cette décénnie a produit. Personnellement je préfère la période 75-85 avec ce que le nouvel hollywood nous a donné et l'émergence de la pop culture (de qualité à l"époque). Après on peut lui en préférer une autre évidemment .
Je pense qu'écran large a entendu les Tarentinades de Quentin qui fait son intéressant et se sent obligé d'être possédé par cet énergumène qui ferait mieux de refaire du cinéma plutôt que d'être laissé en roue libre lors de ses interviews. Ne prenez pas ses interventions pour argent comptant. Ce type est une boule de flipper.
Pour finir et à titre personnel, quand je mettais ma petite main jaune à l'époque je savais pourquoi je le faisais et j'étais capable de débattre avec ceux qui ne le supportaient pas sans vouloir les oblitérer. Ce petit truc qu'on appelle liberté (de s'exprimer, de créer, de se moquer, de débattre ) me manque vraiment. Le petit truc que les studios sont incapables de rebooter.
C'était aussi ça la mauvaise décénnie des eighties.

Eddie Felson
03/04/2024 à 10:50

@Obi
Yep, I know, thanks! J’ai fait acte de contrition plus bas! Pas taper, pas taper;)

Cidjay
03/04/2024 à 10:07

"SHOWA MUST GO ON"...

phonétiquement, ça serait pas passé en 45 un titre pareil.

Obi
03/04/2024 à 09:47

@Eddie Felson
80, mauvaise décénnie n'était pas une attaque contre cette décénnie cinématographie, mais comme le référent de ce GxK qui se base sur les années 60 à 70, comme c'est a cette décénnie là que le film aurait dû faire des clins d'oeil.

Bilbo
03/04/2024 à 09:01

@EL : Dune 2 c'est en co-prod avec la WB hein

Prisonnier
03/04/2024 à 08:19

"Plusieurs centaines de millions"?

Non, il n'a, hors marketing, coûté "que" 135millions.

NaughtySoft
03/04/2024 à 01:39

Bon à priori, il n'y a que moi qui trouve que les effets spéciaux gâchent presque toute la longueur du film. C'est le gros point noir que je reproche au film. J'attends plus que ton avis sur SOS Fantômes la menace de glace, Mathieu Jaborska

Sinople
03/04/2024 à 00:24

Que de chemin parcouru depuis la superbe note d'intention ambitieuse quoiqu'imparfaite et les partis pris audacieux de Gareth Edwards... un chemin du haut vers le bas évidemment, vers le laid, le moche et le con. Qu'est-ce qu'on est pas forcé de subir sur les écrans désormais en guise de blockbusters pour pallier l'absence d'audace et de créativité des décideurs hollywoodiens actuels !! Euh, wait... nan, en fait on n'est pas forcés, alors, next ! A la revoyure sur Netflix... ou pas.

Eddie Felson
02/04/2024 à 23:49

@2501
C ça! Totalement cela! Après relecture, il semblerait que la raison soit de ton côté et l’erreur d’interprétation du mien! Mea culpa et mes excuses au rédacteur de ce papier injustement suspecté de renier le cinéma des eighties!
Mais quelle purge ce film!

2501
02/04/2024 à 23:08

Je pense que la "mauvaise décennie" dont parle la critique pour les 80's fait référence à la période Showa (60's et 70's) à laquelle ce film rendrait hommage.
Faut pas s'emballer comme ça sur vos doudous les enfants, pensez à vos p'tits cœurs. ^^

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