Nobody : critique Better call Wick
Quand l'équipe de John Wick invite le réalisateur de Hardcore Henry et l'acteur Bob Odenkirk à casser des bouches, on en rote nos dents de plaisir.
Hutch Mansell, un père et un mari frustré, totalement déconsidéré par sa famille, se contente d’encaisser les coups, sans jamais les rendre. Il n’est rien. Une nuit, alors que deux cambrioleurs pénètrent chez lui, il fait le choix de ne pas intervenir, plutôt que de risquer une escalade sanglante. Une décision qui le discrédite définitivement aux yeux de son fils Blake, et qui semble l’éloigner encore plus de sa femme Becca. Cet incident réveille chez cet homme blessé des instincts larvés qui vont le propulser sur une voie violente, révélant des zones d’ombres et des compétences létales insoupçonnées. Dans une avalanche de coups de poings, de fusillades et de crissements de pneus, il va tout faire pour tirer sa famille des griffes d’un redoutable ennemi et s’assurer que, plus jamais, personne ne le prenne pour un moins que rien.
Quand l'équipe de John Wick invite le réalisateur de Hardcore Henry et l'acteur Bob Odenkirk à casser des bouches, on en rote nos dents de plaisir.
La suite de Nobody, sorte de John Wick avec Bob Odenkirk, est en bonne voie d'après le producteur et cinéaste David Leitch.
Bob Odenkirk envoie de sacrées tatanes en mode John Wick dans Nobody, qui se dévoile dans une bande-annonce pour le Super Bowl.