Le Terminal : Critique
Depuis A.I. («Intelligence artificielle»), le cinéma de Steven Spielberg n'a de cesse de se libérer des modes.
Viktor Navorski est l'un de ces milliers de touristes, venus des quatre coins du monde, qui débarquent chaque jour à l'Aéroport JFK de New York. Mais, à quelques heures de son arrivée, voilà qu'un coup d'État bouleverse sa petite république d'Europe Centrale, mettant celle-ci au ban des nations et faisant de Viktor... un apatride. Les portes de l'Amérique se ferment devant lui, alors même que se bouclent les frontières de son pays: Viktor est bel et bien coincé...
Depuis A.I. («Intelligence artificielle»), le cinéma de Steven Spielberg n'a de cesse de se libérer des modes.
Quand Steven Spielberg et Tom Hanks se retrouvent pour une comédie romantique, ça donne Le Terminal, un film drôle et touchant, mais pas si léger que ça.
Que le préambule qui suit me soit pardonné. N'en déplaise à certains amateurs, sans doute trop attachés à figer les années quatre-vingt dans un mausolée