Critique : Madagascar
Après un Fourmiz un peu trop intello, un Gang de requins un peu trop mafioso et pas forcément très rigolo, et quelques autres productions aux relents un peu trop
Lorsqu'un lion, un zèbre, une girafe, un hippopotame et une poignée de pingouins psychotiques fuient leur zoo new-yorkais pour secourir l'un des leurs, l'aventure s'écrit avec un grand A. Et lorsque le destin les réunit sur l'île de Madagascar, ils doivent apprendre en formation accélérée les rudiments de la vie à l'air libre.
Après un Fourmiz un peu trop intello, un Gang de requins un peu trop mafioso et pas forcément très rigolo, et quelques autres productions aux relents un peu trop
L'annonce n'a rien de surprenante compte tenu des bénéfices engrangés par Madagascar au box office. Fort de ses 500 millions de dollars de recettes mondiales,
Après les succès de Shrek 1&2 puis de Gang de requins, les studios Dreamworks Animation persistent et signent dans la 3D avec cette fois un quatuor d'animaux échappés