Critique : Ronin
Avec Ronin, John Frankenheimer revenait filmer en France, lui qui connaît notre pays comme personne. Et cela se voit à l'écran. On est loin des clichés habituels
Cinq hommes et une femme qui ne se connaissent pas se rencontrent dans un entrepôt de la banlieue parisienne. Ces hommes de l'ombre sont d'anciens soldats de la guerre froide qui survivent en louant discrètement leurs services à des commanditaires anonymes. La jeune Irlandaise qui les a réunis manque d'expérience. Leur mission est d'affronter une équipe adverse, solidement armée d'une douzaine d'hommes pour lui arracher une précieuse mallette dont ils ignorent le contenu. Une chose est claire : tous devront tuer pour mener à bien leur mission, certains y laisseront leur peau.
Avec Ronin, John Frankenheimer revenait filmer en France, lui qui connaît notre pays comme personne. Et cela se voit à l'écran. On est loin des clichés habituels
Avec Ambulance, Michael Bay a prouvé qu'il pouvait faire un remake plus grand et plus fou que l'original. Et s'il ne s'arrêtait pas là ?