Critique : Lucas, fourmi malgré lui
Avant la claque Monster House (lire notre critique), voilà que débarque en plein cur de l'été et seulement une dizaine de jours après les States, The Ant
Le pauvre Lucas Nickle, 10 ans, n'a vraiment pas de chance. Installé depuis peu avec sa famille dans une nouvelle ville, il n'a pas réussi à s'y faire un seul ami. Pis, Lucas est devenu le souffre-douleur de la brute locale, Steve, qui ne manque pas une occasion de le malmener.En guise d'exutoire, l'enfant ne trouve rien de mieux que d'effrayer et de martyriser les fourmis de son jardin, en s'amusant à shooter dans la fourmilière et à arroser ou écraser sauvagement ses minuscules hôtes. Lucas ne soupçonne pas que la fourmilière abrite une société hyperactive, complexe, très organisée et hautement structurée... qui en a plus que marre de ses stupides agissements.Zoc, le Sorcier, trouve enfin la parade : en faisant absorber à Lucas une goutte de sa potion magique, il le réduit... à la taille d'une fourmi...
Avant la claque Monster House (lire notre critique), voilà que débarque en plein cur de l'été et seulement une dizaine de jours après les States, The Ant
Depuis bien des années maintenant, les longs-métrages d'animation 3D ne se contentent plus d'offrir de belles parures numériques, ils se dotent également de
La toute nouvelle article-details_c-trailers de Lucas, fourmi malgré lui (The Ant Bully en VO) vient d'être mise en ligne.
Réalisateur : John A. Davis.
Scénariste