Critique : Toi et moi... et Dupree
Chers amis cinéphiles,
Vous qui, parfois, contemplez la vie du critique de cinéma d'un il langoureux, voire envieux, sachez que la dite vie est entâchée de
Jamais deux sans trois... Jeunes mariés, Carl et Molly Peterson sont à peine rentrés d'une brève lune de miel à Hawaii que débarque chez eux l'ineffable Randolph Dupree, célibataire endurci, glandeur incurable... et meilleur ami de Carl. Licencié pour s'être octroyé une semaine de congés et plaqué par sa petite amie, Duprée se retrouve sans travail, sans ressources, sans voiture et sans domicile.Comment les Peterson lui refuseraient-ils l'hospitalité ? Combien de temps pense-t-il rester ? Deux, trois jours au maxium, éventuellement un mois, mais peut-être un peu plus...
Chers amis cinéphiles,
Vous qui, parfois, contemplez la vie du critique de cinéma d'un il langoureux, voire envieux, sachez que la dite vie est entâchée de