Critique : Fur : Portrait imaginaire de Diane Arbus
Pour comprendre et apprécier toute la saveur très particulière mais intense de Fur : un portrait imaginaire de Diane Arbus, il faut sans doute avoir déjà succombé
New York, fin des années 50.Diane Arbus est l'assistante de son mari, un photographe de mode réputé. Issue d'une riche famille, elle se sent de plus en plus mal à l'aise dans un monde de convenances rigides où seules les apparences comptent.Un soir, elle remarque des déménageurs qui livrent des meubles et des objets étranges dans l'appartement du dessus. Lorsqu'elle aperçoit son voisin, le mystère s'épaissit encore : enveloppé d'un long manteau, il porte un chapeau et dissimule son visage derrière un masque. Seuls ses yeux sont visibles, et le regard que Diane croise ne fait que la fasciner un peu plus...Irrésistiblement attirée, Diane finit par monter chez l'homme avec un appareil photo. Sa rencontre avec Lionel va l'entraîner dans une incroyable aventure à la découverte d'univers mystérieux, dans une relation intime qui va transformer sa vie et son art pour toujours...
Pour comprendre et apprécier toute la saveur très particulière mais intense de Fur : un portrait imaginaire de Diane Arbus, il faut sans doute avoir déjà succombé
La article-details_c-trailers de Fur, le nouveau long-métrage réalisé par Steven Shainberg (très remarqué avec son précédent film, La Secrétaire interprétée
Production Weekly nous annonce que Nicole Kidman interprétera Diane Arbus dans Fur, la biographie de l'une des plus célèbres photographes new-yorkaises des années