Critique : La Nativité
À l'annonce d'un nouveau projet sur le Christ en ce début d'année 2006, soit deux ans à peine après la sortie « bruyante » de La Passion de Mel Gibson, on
En rentrant de sa journée aux champs, Marie apprend que son père a consenti à son mariage avec le charpentier Joseph, qu'elle connaît à peine. Peu après, l'archange Gabriel annonce à la jeune fille qu'elle porte en elle le fils de Dieu. À son retour de chez sa cousine, où elle avait trouvé refuge, son ventre arrondi provoque un scandale. Joseph, qui menace de la répudier, reçoit en rêve la visite de Gabriel, qui l'informe de sa mission et le rassure sur la vertu de sa promise. Le bonheur du couple enfin soudé est de courte durée. En effet, Hérode, qui craint la réalisation de la prophétie de l'Ancien Testament annonçant la venue d'un nouveau roi, resserre son emprise sur ses sujets. Au même moment, un recensement national force Joseph à marcher avec sa femme jusqu'à Bethléem, direction également prise par trois mages guidés par une étoile.
À l'annonce d'un nouveau projet sur le Christ en ce début d'année 2006, soit deux ans à peine après la sortie « bruyante » de La Passion de Mel Gibson, on
Et il n'est pas content. La Nativité, qu'on peut considérer comme une préquelle de La Passion du Christ, ne rapporte que 2,4 millions de dollars le jour de sa
L'approche de Noël est toujours une bonne période de promotion pour l'Église Catholique. Cas unique dans l'histoire du cinéma, un film sera donc diffusé en