Critique : Blindés
Après un Motel foireux et ce Blindés
ultra convenu, on peut raisonnablement avoir peur pour le remake/reboot de Predator :
Nimród Antal est un faiseur
Critique - Film
13/01/2010
Après la mort de ses parents, Ty rentre d'Irak où il était soldat pour s'occuper de son petit frère. Pour faire face aux factures, il accepte de travailler comme convoyeur de fonds pour la société qui employait son père. Au dernier jour de sa période d'essai, Ty se voit proposer par Cochrane, son chef d'équipe, de voler les 42 millions de dollars qu'ils doivent bientôt transporter. Le plan est aussi simple que génial : pas d'armes, pas de victimes, pas de violence, et aucune preuve...
Après un Motel foireux et ce Blindés
ultra convenu, on peut raisonnablement avoir peur pour le remake/reboot de Predator :
Nimród Antal est un faiseur