Esther : critique diabolique
Le visage du Mal.
Après avoir perdu l'enfant qu'elle attendait, la fragile Kate voit ressurgir les douloureux souvenirs d'un passé qu'elle préférerait oublier. Hantée par des cauchemars récurrents, et décidée à retrouver une vie de couple équilibrée, elle fait le choix, avec son compagnon John, d'adopter un enfant. A l'orphelinat voisin, Kate et John se sentent étrangement attirés par une fillette, Esther. Mais Kate ne tarde pas à découvrir la face cachée de la " douce " enfant. Autour d'elle, personne n'a rien remarqué, et nul ne semble partager ses doutes et ses inquiétudes...
Le visage du Mal.
Avant Blumhouse et sa percée sur le marché de l'horreur, une sous-filiale américaine avait tenté de se placer sur le même créneau, avec moins de succès.
Dur dur d’être un bébé, sauf quand on zigouille les adultes bien sûr, ainsi que nous l’a appris Esther, qui va connaître une suite en forme de prequel.
Esther a été un joli succès lors de sa sortie en 2009, et c'est tout naturellement qu'elle revient hanter le cinéma 10 ans plus tard.