10 films d'horreur à (re)voir sur Amazon Prime

La Rédaction | 23 octobre 2022
La Rédaction | 23 octobre 2022

Il n'y a pas que Netflix dans la vie : sélection de 10 films d'horreur à (re)voir sur Amazon Prime.

À ceux qui regrettent que le catalogue Netflix rayon horreur soit si moyen, ou si attendu, il y a Amazon Prime Video. Blindé de films et séries, cet autre service de SVoD a quelques petits classiques, plus ou moins populaires et connus, qui méritent d'être (re)vus.

Sélection de 10 films d'horreur à (re)consommer sans modération (et sans ordre précis).

Et pour voir les meilleurs films d'horreur sur Netflix, c'est par ici.

 

Ring : Photo, Nanako MatsushimaLe vrai Ring of power 

 

The Witch 

Sortie : 2016 - Durée : 1h33 

 

The Witch : Photo Anya Taylor-JoyA star is born

 

De quoi ça parle : Au 17e siècle en Nouvelle-Angleterre, un couple de croyants s'installe sur un lopin de terre sauvage en périphérie d'un village pour mener une vie pieuse avec leurs cinq enfants, mais une suite de malheurs les amènent à se dresser les uns contre les autres et à s'accuser de sorcellerie.

Pourquoi c'est déjà culte : Parce que le film est une double révélation : celle du réalisateur Robert Eggers (The Lighthouse), qui attire un peu l'attention à chaque nouveau film depuis The Witch, et celle de l'actrice Anya Taylor-Joy (Last night in Soho), qu'on peut légitimement considérer comme un des talents les plus prometteurs de sa génération.

Au-delà des noms au générique, le long-métrage est un thriller fantastique et paranoïaque envoûtant qui installe une atmosphère vaporeuse et contemplative, habilement pervertie par l'imagerie païenne outrancière (le bouc noir, le corbeau diabolique, le clan de sorcières) qui s'immisce pernicieusement dans le récit pour éprouver moralement et physiquement les personnages. En plus de revenir aux origines mythologiques de la sorcellerie, le but est ainsi d'ausculter les fondements de la peur et par extension le fanatisme religieux complexe qui en découle.

Ça te plaira si tu aimes : Anya Taylor-Joy, Gretel & Hansel, Hérédité

 

RING

Sortie : 1998 - Durée : 1h36

 

Ring : photoToute la symbolique du cinéma d'horreur

 

De quoi ça parle : Au Japon, une rumeur circule à propos d'une cassette vidéo qui entraînerait la mort de celui ou celle qui la regarde. Après le décès soudain et inexplicable de sa nièce, une journaliste décide de mener l'enquête et de visionner la fameuse cassette, mettant ainsi sa vie en péril.

Pourquoi c'est culte : Au-delà d'avoir été réalisé par Hideo Nakata, le maître de la J-horror dont il a posé les fondements, Ring a également marqué la naissance de Sadako, une nouvelle icône du cinéma d'horreur qui hante depuis la culture populaire et l'imaginaire collectif, et bien plus loin que les frontières de l'archipel. Si son concept de la malédiction à déjouer dans un temps imparti peut paraître quelconque, voire un peu usé, le film est fascinant pour sa réappropriation des mythes et légendes du folklore japonais (en particulier des Yurei et Onryo, soit les esprits vengeurs très présents dans la littérature ancienne nippone).

Ces croyances sont ainsi confrontées à l'évolution du pays, son occidentalisation et la perte progressive des traditions avec une opposition symbolique entre le modernisme de Tokyo et le traditionalisme de l'île d'Izu Ō-shima (notamment son dialecte). Le film est également un exercice réussi de mise en scène et d'écriture qui mise principalement sur la suggestion et du hors champ pour installer l'effroi jusqu'au dernier acte, plus frontal, et sa fameuse scène devenue culte.

Ça te plaira si tu aimes : Ju-on: The Grudge, The Eye, Kaïro, Dark Water, Sinister

 

VENDREDI 13

Sortie : 2009 - Durée : 1h37

 

Vendredi 13 : photoCe film, c'est que de l'amour


De quoi ça parle : Ils sont jeunes, ils sont beaux et ils ont envie d'échanger plus que de la salive. Malheureusement pour eux, leurs agapes se déroulent à Crystal Lake, où sévit Jason. Un colosse laissé pour mort par de jeunes fornicateurs quelques années plus tôt, qui ne désire rien tant que pénétrer des fêtards avec sa grosse machette.

Pourquoi c'est bien : Alors il faut se lever de bonne heure pour affirmer qu'un épisode de la saga Vendredi 13 relève du champ philosophique du "bien". Genre de très bonne heure. Et ce reboot de 2009 demeure probablement ce qui s'en approche le plus. En effet, conçue pour profiter du succès phénoménal du premier Halloween réalisé par John Carpenter, la franchise Vendredi 13 a toujours brillé par son opportunisme et ses limites cinématographiques. Mais qui mieux que Michael Bay pour transcender cet ADN de cinéma d'exploitation ?

Confiant la mise en scène à Marcus Nispel, qui était alors le charcutier-remakeur en chef d'Hollywood, le roi de la destruction fait oeuvre de pertinence, et autorise cette relecture à être bien plus énergique, nerveuse, brutale et maîtrisée que ses modèles. Pour autant, l'attelage du réalisateur et du producteur conserve toute la bêtise crasse de la recette originale. Ce qui fait de cette version à la fois la plus intense et la plus fidèle de toute la saga.

Vendredi 13 : la meilleure mauvaise saga de slashers ?

Ça te plaira si tu aimes : Hatchet, Hatchet II, Hatchet III

 

CONJURING

Sortie : 2013 - Durée : 1h52

 

Conjuring : les dossiers Warren : photo, Vera FarmigaEncore un fantôme qui s'habille comme un sac



De quoi ça parle : Ils sont mariés, sont de fervents croyants, voire des grenouilles de bénitier, sont plus pâlots que des cuisses de poulet javellisées et ont manifestement un rapport à la sensualité digne des élans d'un contrôleur fiscal neurasthénique. Mais ils sont spécialisés dans les exorcismes de choc, alors on les aime bien.

Pourquoi c'est bien : Copiste de génie, technicien émérite, mais auteur mû par un amour total du nanar de l'espace, James Wan a souvent été écartelé entre ses différentes influences. Or, c'est peut-être dans le premier épisode de son univers étendu au succès planétaire, Conjuring, que le cinéaste, scénariste et producteur a su donner le meilleur de lui-même ou à tout le moins trouver un point d'équilibre remarquable d'harmonie et de réussite.

Tout d'abord, parce que le film fait peur. Raffiné dans sa construction, brutal dans ses effets, mais orfèvre dans leur construction à l'image, Wan engendre une terreur certes souvent synonyme d'adrénaline, reposant volontiers sur une avalanche de jumpscares, mais dont la nervosité est presque unique en son genre. Enfin, quand sa saga déviera vers une imagerie chrétienne mal comprise, agitée souvent pour dissimuler des trous scénaristiques, cet épisode inaugural traite de la foi de ses héros et l'aborde via les outils de cinéma, pour mieux en faire un motif de peur.

Notre classement des films Conjuring

Ça te plaira si tu aimes : L'Exorciste, House of the Devil

 

SANS UN BRUIT

Sortie : 2018 - Durée : 1h30

 

A Quiet Place : PhotoQuand tu ne fais plus la différence entre ton lit et une baignoire


De quoi ça parle : Une famille essaye de survivre face à des monstres extraterrestres qui réagissent au moindre bruit. Sauf que la mère et le père ont décidé de faire un enfant à ce moment-là et que le bruit d'un nourrisson est franchement mal venu.

Pourquoi c'est bienSans un bruit a été le grand phénomène horrifique de l'année 2018 aux États-Unis notamment grâce à son concept. Ici, pas de monstres véritablement visibles ni de jumpscares un peu facile, mais bel et bien une menace sourde (ou plutôt entendante) qui reste tapie dans l'ombre pour mieux surgir aux moindres bruits, paroles ou évidemment cris. De quoi donner une sensation d'immersion lors du visionnage lorsque les personnages doivent rester silencieux et que les spectateurs retiennent leur souffle dans l'espoir de voir les horribles créatures se disperser.

Alors évidemment, qui dit film à concept dit risque de ne pas s'y tenir, et régulièrement, le long-métrage met à mal ses propres règles (et donc notre suspension d'incrédulité). Toutefois, le film réalisé par John Krasinski fait preuve d'une belle débrouillardise et d'une vraie sincérité, ne cherchant jamais à être plus qu'il n'est vraiment à savoir une petite série B maline et humble. D'un côté, Sans un bruit parvient donc à toucher avec son récit familial et de l'autre, son atmosphère anxiogène et claustrophobe livre quelques grands moments de tension.

Notre critique de Sans un bruit

Ça te plaira si tu aimes : Pas un bruit, Cloverfield, Bird Box, Monsters


PEUR BLEUE

Sortie : 1999 - Durée : 1h45

 

Peur bleue : photoJusqu'ici tout va bien

 

De quoi ça parle : Une équipe de scientifique modifie le génome de gros requins bien vénères dans le but de trouver un traitement contre Alzheimer. Qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?

Pourquoi c'est bien : On ne vous apprend pas que la petite industrie du film de requin n’est pas la dernière à prendre les spectateurs pour des crétins finis, qui passeront de toute façon à la caisse à la moindre vue d’un aileron sur une jaquette. Rassurez-vous, Peur bleue est une authentique série B hollywoodienne généreuse en squales, en jets de sang et en fulgurances réjouissantes. Il faut dire que son réalisateur, le mercenaire Renny Harlin, a toujours respecté les divertissements dont il avait la charge et qu’il ne se gêne pas ici pour tirer le meilleur de son intrigue complètement stupide à base de requins génétiquement augmentés.

Doté d’un budget absolument délirant de 60 millions de dollars (qu’il a largement remboursé !), fréquenté par des comédiens populaires (Samuel L. Jackson, LL Cool J, Stellan Skarsgård, Thomas Jane) et dépourvu de temps morts, Peur Bleue est l’un des représentants les plus attachants de la production américaine à budget moyen telle qu’elle est en train de disparaître, après l’échec des tentatives récentes comme Underwater ou Life. Ni lesté de l’humour post-moderne qui pourrit une grosse partie du bis actuel ni trop prétentieux pour son scénario, il se déguste comme une bière fraiche après une journée chaude ou un chocolat chaud après une journée froide.

Ça te plaira si tu aimes : Les Dents de la mer... enfin presque, Instinct de Survie, 47 Meters Down...


THE DESCENT

Sortie : 2005 - Durée : 1h39

 

The Descent : photo, Shauna MacdonaldRed is dead

 

De quoi ça parle : D'une bande d'amies qui se retrouve pour une petite expédition spéléologie. Elles se rendent vite compte d'une part que leur trajet n'est pas répertorié, d'autre part qu'il y a une raison à cela.

Pourquoi c'est bien : Il est des cinéastes dont on dévalue l’œuvre quand ils nous ont déçus. Neil Marshall n’est pas de ceux-là. Malgré ses déboires plus récents, son The Descent n’a rien perdu de sa force traumatique. Contraint par un budget microscopique, il est forcé d’enfermer ses héroïnes dans un labyrinthe de roches inextricable et surtout de doser habilement la tension. D’abord récit d’exploration angoissant, le film se transforme en survival naturel vertigineux, puis mue en un terrible cauchemar monstrueux au fur et à mesure qu’il s’enfonce dans les entrailles du monde, jusqu’à atteindre l’épicentre de la noirceur dans un climax cruel, du moins dans son montage européen.

D’aucuns diraient que le film atteint son acmé juste avant l’apparition des créatures et ils n’auront pas totalement tort. Et pour cause : l’intérêt réside surtout dans la mise en scène de la fameuse grotte, qui multiplie les surcadrages pour enfermer les personnages dans un enfer tortueux, qui marquera au fer rouge le plus courageux des claustrophobes. Quant aux autres, ils auront bien du mal à éjecter certaines images de leur tête si d’aventure il leur vient l’idée de tester la spéléologie. Alors c’est à vos risques et périls.

Ça te plaira si tu aimes : Haze, Buried, La Crypte, Catacombes


MOTHER!

Sortie : 2017 - Durée : 2h02

 

Mother ! : Photo , Jennifer LawrenceHunger Games : la revanche des héros


De quoi ça parle : D'un couple qui vit paisiblement dans une belle maison isolée... jusqu'à ce que tout parte en vrille à cause d'intrus qui débarquent chez eux.

Pourquoi c'est bien : Parce que c'est l'un des films les plus étonnants, étranges et excessifs de ces dernières années. Parce que c'est impossible de deviner où ira l'histoire, qui commence comme un drame intime avant de virer au carnage cauchemardesque. Parce qu'il a profondément et violemment divisé à sa sortie (rejet massif de la critique et du public, échec au box-office), prouvant à quel point c'est un objet de cinéma extraordinaire. Et parce qu'à chaque revisionnage, il ne perd pas de sa force, au contraire.

Relecture de la Bible version horreur en huis clos, réflexion poétique et sanglante sur l'acte de créer, pamphlet écolo radical : Mother! est tout ça, et bien plus encore. Écrit et réalisé par Darren Aronofsky après les Oscars de Black Swan et la superproduction biblique Noé, il se déroule comme un cauchemar kafkaïen à tiroir, qui ne cesse d'ouvrir de nouvelles portes d'horreur et de malaise. La liberté (dans l'écriture, le rythme, et les mouvements de caméra) qui s'en dégage est ahurissante, et l'expérience n'en devient que plus étourdissante.

Mother! ne plaira pas à tout le monde, et c'est justement pour ça qu'il est précieux. Le film provoque des sensations des vertiges exceptionnels, et touche des sommets de violence absurdes dans sa dernière ligne. Et dans ce nuage infernal, Jennifer Lawrence est impériale, dans ses silences et ses hurlements.

Notre critique de Mother!

Ça te plaira si tu aimes : À rien de ce que t'as déjà vu (et c'est un compliment).


UNDER THE SKIN

Sortie : 2013 - Durée : 1h48

 

Under the Skin : photoLa Mutante



De quoi ça parle : D'une alien qui arrive sur Terre, et prend l'apparence de Scarlett Johansson pour bouffer des hommes.

Pourquoi c'est bien : C'est comme La Mutante, mais s'il avait réalisé comme un film d'auteur kamikaze. Autour d'un canevas extrêmement simple (une alien sous forme humaine séduit des hommes pour les tuer), Under the Skin construit un cauchemar halluciné, d'une beauté folle et terrible. Alternant les scènes glaciales en Écosse, où l'alien déambule pour trouver ses victimes, et les mises à mort abstraites et vertigineuses, le réalisateur et scénariste Jonathan Glazer (Sexy Beast, Birth) compose une symphonie de l'horreur tellement unique que l'expérience est immédiatement inoubliable.

Au rythme de la musique envoûtante de Mica Levi, Scarlett Johansson flotte, telle une déesse des enfers. C'était un choix de carrière complètement fou puisqu'elle l'a tourné entre deux Avengers, et l'actrice s'empare du rôle avec un talent évident. Toute la puissance d'Under the Skin explose finalement dans une conclusion inouïe, qui réunit toute la beauté déstabilisante et l'horreur vertigineuse d'un film extraordinaire, qui devrait résonner longtemps dans la galaxie cinéma.

Notre critique d'Under the Skin

Ça te plaira si tu aimes : PossessionNot of This Earth de Roger Corman ou Marée nocturne


THE ENDLESS

Sortie : 2017 - Durée : 1h51

 

The Endless : photoQuand on n'a pas d'argent, il faut avoir de bonnes idées



De quoi ça parle : Deux frères retournent dans la secte qu'ils ont réussi à quitter dix ans auparavant, après avoir reçu une lettre mystérieuse. Sur place, leurs croyances sont mises à rude épreuve à l'arrivée d'événements en apparence surnaturels.

Pourquoi c'est une pépite à découvrir : Avant de réaliser des épisodes de Moon Knight et de Loki (saison 2), Justin Benson et Aaron Moorhead se sont imposés comme les nouveaux espoirs d'une série B horrifique ultra-inventive et capable de compenser ses budgets riquiqui. Avec The Endless, le duo de réalisateurs (également scénaristes, acteurs, chefs opérateurs et monteurs) prouve non seulement son talent pour mettre en scène des concepts ambitieux, mais aussi pour capter comme peu de cinéastes une horreur cosmique ouvertement inspirée de H.P. Lovecraft.

Au-delà de la crainte qui naît face au quotidien de la secte dépeinte, le film s'amuse à façonner ses séquences autour d'une inquiétante étrangeté, au point d'engendrer une dimension paranoïaque, comme si une force inimaginable scrutait en permanence les deux héros. À partir de là, The Endless sait être stratégique, et offre certaines images-chocs pour donner corps à sa dimension fantastique, comme ce jeu de cordes dans l'obscurité, où l'on ne sait pas ce qui se trouve de l'autre côté. Un bijou de malice et de créativité, par deux jeunes talents à suivre de très près.

Notre critique de The Endless

Ça te plaira si tu aimes : Silent Hill, Midsommar, The Wicker Man, The Invitation, Color Out of Space

Tout savoir sur Conjuring : Les Dossiers Warren

Newsletter Ecranlarge
Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large.
Vous aimerez aussi
commentaires
Darkghostattakk
04/11/2023 à 01:24

J adore

Malik_Orne
15/01/2023 à 02:49

Mother est un chef d’œuvre tellement puissant qu’il faut vraiment être un con fini à l’urine de rat pour passer à côté !

HAL
23/10/2022 à 18:59

Belle selection jusqu'à Mother...
"Parce qu'il a profondément et violemment divisé à sa sortie (rejet massif de la critique et du public, échec au box-office), prouvant à quel point c'est un objet de cinéma extraordinaire." Euh, donc si il y a rejet plus bide c'est extraordinaire ? Ah bon.
C'est une nouvelle règle de critique de cinéma ?
En plus Mother ne choque pas, ne pense qu'en mode surligneur fluo tendance rédaction adolescente et comme presque toujours chez Aronofsky ça se croit très très très très intelligent et ça en fait des tonnes parce qu'il le vaut bien (en fait exactement comme Gaspar Noé) : du vent qui fait du bruit et des grands mouvements.

alulu
23/10/2022 à 18:37

The Descent : De loin le meilleur film de Neil Marshall.
The Endless : Un manque de rythme mais finalement bon. Le genre de film qui fait des appels de pieds pour que l'on le revisionne une seconde fois.
The Witch : Une évidence.
Sans un bruit : Bien mais juste une envie de baffer la gamine sourde tellement elle m'est insupportable. Ils ont corrigé le tir sur le 2ème alors que ça enchaîne tout de suite après le 1er. Une petite incohérence du perso sur le 2ème mais au final salutaire :)
Mother : De loin le meilleur film de Darren Aronofsky.
Under the Skin : Bof, juste pour la musique qui annonce les "râteaux".
Peur Bleue : Sans Plus.
Conjuring : Bien mais au dessous de Insidious.
Vendredi 13 : Bien mais pas trop fan des Slashers.

Pseudonaze
03/11/2020 à 22:57

C. H. U. D... toute ma puberté qui me revient droit dans la gueule !

Murata
04/04/2020 à 14:47

Très bonne sélection, purée j'ai déjà vu tout ça.

lulu
02/04/2020 à 13:35

Aaahh jusqu'en en enfer, je me rappel de ce film à sa sortie, c'était une bonne petite surprise pour moi à l'époque. Depuis,je l'ai vu et revu plusieurs fois. Sa fais longtemps, Je vais le revoir tiens ^^

Fred_NTH
01/04/2020 à 17:46

Merci !