Les meilleures comédies françaises sur Netflix

Simon Riaux | 4 avril 2020 - MAJ : 09/03/2021 15:58
Simon Riaux | 4 avril 2020 - MAJ : 09/03/2021 15:58

Comme Netflix passionne le monde, qu'on aime le monde mais aussi le cinéma de genre, on a dressé une petite liste de ce qu'il y a de disponible au rayon comédie.

Des films pour frissonner, trembler, vivre de folles aventures, sur Terre et dans l'espace, des films pour se détendre, s'amuser, à voir au second degré ou pour réfléchir : c'est par ici. Et ce sera bien utile en période de coronavirus et confinement.

Les meilleurs films d'action sur Netflix sont à retrouver dans ce dossier.

Pour le meilleur de l'horreur sur Netflix, séries et films, c'est par là

Ah et tant qu'on y est, retrouvez donc le meilleur de la science-fiction, en orbite tout près.

Tiens, figurez-vous qu'on a même concocté un dossier sur les meilleures comédies internationales et aussi les meilleurs animes disponibles sur la plateforme.

 

photo Netflix

 

DELICATESSEN 

De quoi ça parle : Dans une ville en ruine, la vie d’un immeuble tourne autour de l’étale d’un boucher, capable d’achalander les environs en viande fraîche... au détriment des locataires. 

Pourquoi c'est bien : C’est le film qui aura fait connaître aux cinéphiles le duo Jeunet et Caro, qui opère ici des débuts fracassants au sein du petit monde parfois très normé de la comédie française. Son ton sardonique, l’étrangeté assumée de son sujet, ses personnages bizarroïdes et volontiers mal-aimables, tout comme sa mise en scène sophistiquée, lui interdisaient logiquement de rencontrer le grand-public, et pourtant, le miracle se produit. 

La singularité du film tient notamment dans l’amour débordant des deux auteurs pour la bricole, qui les pousse à transformer tous les plans, chaque scène et ultimement le film en un gigantesque mécanisme, un organisme où le spectateur peut trouver la place qui lui chante. Et Delicatessen de se transformer en incroyable hallucination, hors du temps et hypnotique. 

Si tu aimes : Le cinéma de Georges Méliès, mais aussi les classiques du cinéma français d’avant-guerre, de Duvivier à Renoir. Apprécier la cruauté d’un C'est arrivé près de chez vous aidera la médecine à couler. 

 

Photo Jean-Claude DreyfusEt bon appétit si vous êtes à table !

 

DIDIER 

De quoi ça parle : Ce n'est vraiment pas le moment pour Jean-Pierre, agent sportif, de garder le labrador d'une amie pendant une semaine alors qu'il est empêtré dans de sombres affaires...  

Pourquoi c'est bien : Un chien qui devient un homme, ça vaut le détour, surtout quand c'est Alain Chabat qui s'y colle et qui réalise. Ce film de 1997 introduit le fantastique comme une donnée légère pour influencer les rapports humains. Que des extraterrestres transforment un labrador en homme est ici bien moins intéressant que tout ce que cela entraîne.

Didier est attachant, pot de colle, baveux et stupide mais son physique d'humain va lui permettre de grimper l'échelle sociale de banal toutou à joueur de foot professionnel. Jean-Pierre (Jean-Pierre Bacri), son maître pour quelques jours, doit se montrer conciliant avec la bête malgré son égoïsme caractéristique, qu'il apprendra pourtant à apaiser (un peu) auprès de son compagnon à deux pattes. Dresser l'animal va lui demander du courage et la sentence "on ne sent pas le cul des gens" tapisse les dialogues cocasses et les situations limites.

Si tu aimes : les films où ça parle de chiens mais où il n'y a pas de chiens + Alain Chabat.

 

Photo Alain Chabat, Jean-Pierre BacriOn... ne... sent...pas... le... CUL DES GENS

 

ENFERMÉS DEHORS 

De quoi ça parle : Il vit dans la rue. Il trouve un uniforme de policier abandonné. Comme quoi, un drôle d’habit fait parfois un drôle de moine. 

Pourquoi c'est bien : Abreuvé d’humour absurde, de cartoon, de la poésie de Buster Keaton et la douce folie de Terry GilliamAlbert Dupontel livre ici une de ses créations les plus féroces. Cette comédie désaxée sent bon la colère et le bitume, déclinés au gré d’une série de portraits ahurissantes, grâce à une galerie de seconds rôles comme lui seul en a le secret. Sous ses airs de dinguerie nerveuse, le film est aussi un réquisitoire impitoyable contre une société qui oublie ses membres les plus fragiles et ne leur laisse guère que le chaos à investir. 

Le metteur en scène fait ici feu de tout bois, et nous offre un véritable festival devant la caméra. Inarrêtable, il enchaîne cascades et sorties de route avec une énergie qui achève de faire du long métrage une expérience hors-normes. 

Si tu aimes : Le Mécano de la General,  la cocaïne et puis aussi Bandits, Bandits. 

 

photo, Albert DupontelCinq fruits et légumes par jour, avec un peu de béton aussi

 

GAZON MAUDIT 

De quoi ça parle : Femme au foyer pas très heureuse en couple, Loli tombe amoureuse de Marie-Lou. Commence alors un ménage à trois, légèrement chaotique.

Pourquoi c'est bien : En premier lieu, parce qu'un tel film dans la France de 1995, ce n'est pas anodin. D'autant qu'il a rencontré un immense succès à tous les niveaux, avec près de 4 millions d'entrées et une célébration aux César (prix du meilleur scénario, parmi cinq nominations dont meilleur film).

Et ce succès se comprend : Gazon maudit est une comédie menée par un trio d'acteurs excellents (Victoria Abril, Alain Chabat et Josiane Balasko, également co-scénariste et réalisatrice), écrite avec entrain, et qui alterne entre le rire et l'émotion sans avoir peur de jouer avec les clichés, la sexualité, la liberté. Le film a beau être platement mis en scène et éclairé sans idée, il reste bien charmant, avec quelques répliques et scènes cultes toujours aussi irrésistibles ("Je suis chez moiiiiiii...").

Si tu aimes : À trois, on y va, La Rupture

 

photo, Victoria AbrilMénage à trois

 

L'ARNACOEUR 

De quoi ça parle : Votre fille sort avec un sale type ? Votre soeur s'est enlisée dans une relation passionnelle destructrice ? Aujourd'hui, il existe une solution radicale, elle s'appelle Alex. Son métier : briseur de couple professionnel. Sa méthode : la séduction. Voilà le programme du film de Pascal Chaumeil.

Pourquoi c'est bien : Quand l'immoral doucereux s'insinue dans la comédie, le spectateur bénéficie d'un humour à double tranchant. Dans L'Arnacoeur, Romain Duris joue les jolis coeurs et les amants parfaits pour son entreprise spécialisée dans les ruptures. Il séduit pour mieux prouver l'inadéquation de deux âmes faites pour s'aimer et mène sa barque de charlatan de l'amour avec brio. Jusqu'au jour où il tombe sur plus coriace que lui...

Vanessa Paradis interprète Juliette, fiancée et bientôt mariée, ce qui n'est pas du goût de son père. Flanquée d'un garde-du-corps payé pour la conquérir, la jeune femme le fait tourner en bourrique et repousse ses avances. La loi de la nature frappe et contamine le professionnel serial-lover. Entre comédie et romance (sur fond de Dirty Dancing), le film plaira aux coeurs d'artichaut qui n'ont pas honte de leur sensibilité.

Si tu aimes : La Belle Epoque

 

photoFrançois Damiens toujours aussi drôle

 

LA TOUR MONTPARNASSE INFERNALE 

De quoi ça parle : Un soir, suspendus au 52e étage de la Tour Montparnasse, Eric et Ramzy, deux laveurs de carreaux, ont pris du retard dans leur travail et vont se retrouver au coeur d'une prise d'otages.

Pourquoi c'est génial : Cultissime, ce film est le "voir Venise et mourir" de la comédie française. Sorti en 2001, ce film a ouvert le XXIe siècle à l'humour. Les deux simplets interprétés et Eric Judor et Ramzy Bedia s'improvisent sauveurs d'une situation extrême où leur inventivité et leur courage naïf les poussent à se surpasser, dans des phrases devenues cultes.

"Arrêtez ou je tire une balle dans la tête de la main", "ouais bah vaut mieux être un petit breton qu'un grand tu l'auras", "c'est de toute beauté", "on va l'accrocher à un fil invisible. Un fil invisible, c'est comme un homme invisible, mais en forme de fil" : voici un petit échantillon pour vous donner envie de revoir ou de découvrir cette pépite du dialogue. La drôlerie est présente sous toutes ses formes, comique de répétition, de situation, de langage ou d'absurde.

Si tu n'aimes pas : La Tour 2 contrôle infernale

 

photoDe preux chevaliers servants

 

L'AUBERGE ESPAGNOLE

De quoi ça parle : En Espagne, Xavier, 20 ans, cherche un logement et trouve finalement un appartement dans le centre de Barcelone qu'il compte partager avec sept autres personnes. Chacun de ses colocataires est originaire d'un pays différent.  

Pourquoi c'est bien : Romain Duris, Cécile de France et Audrey Tautou ont donné des envies de voyage Erasmus et de méthode Assimil à toute une génération. Le film de Cédric Klapisch raconte la vie d'un jeune homme de 20 ans qui doit quitter la France pour apprendre une nouvelle langue : l'espagnol. Plus qu'un pays, c'est une farandole de cultures et de copains qu'il rencontre dans sa colocation où c'est farniente à longueur d'après-midi.

Joyeux et convivial, L'Auberge espagnole est devenu l'antonomase de la jeunesse qui s'amuse. Cette comédie confronte les thèmes essentiels de l'amour (et donc de la tromperie), de l'avenir et du mélange des cultures de l'hémisphère nord. Toute une génération brossée en 120 minutes, dont on envie l'insouciance.

Si tu aimes : Les Poupées Russes et Casse-tête chinois

 

photo, Romain Duris, Cécile de FranceApprendre à draguer les filles avec Cécile de France

 

LE BRUIT DES GLACONS

De quoi ça parle : C'est l'histoire d'un homme qui reçoit la visite de son cancer. "Bonjour, lui dit le cancer, je suis votre cancer. Je me suis dit que ça serait peut-être pas mal de faire un petit peu connaissance..."

Pourquoi c'est bien : Parce que c'est beau, terrible, fou, absurde, que ça donne envie de rire et pleurer, et rappelle que Bertrand Blier est un génie. Le réalisateur de Tenue de soirée, Buffet froid et Les Valseuses a sans nul doute perdu sa flamme d'hier, comme en témoigne le récent Convoi exceptionnel, mais Le Bruit des glaçons est un de ses meilleurs films récents, où son amour des mots, des hommes et des dépressions est éclatant.

Jean Dujardin et Albert Dupontel sont bien sûr excellents, mais il y a aussi Anne Alvaro, déchirante, et récompensée d'un César du meilleur second rôle - son deuxième après Le Goût des autres, où elle était déjà parfaite. A voir et revoir, sans modération, pour réfléchir sur la vie, et se souvenir que le cinéma, c'est aussi ça.

Si tu aimes : Bertrand Blier, et tu devrais aimer Bertrand Blier.

 

photo, Jean DujardinLa douce goutte de trop

 

LES ACTEURS 

De quoi ça parle : Ce sont des acteurs, dans leur rôle le plus difficile. Le leur.

Pourquoi c'est bien : Toujours tenté par les  vertiges de l'absurde et une profonde angoisse existentielle, Bertrand Blier, leur offre en pâture tout le cinéma français. C'est bien simple, le casting de son trip méta est probablement le plus exhaustif, prestigieux, fou, jamais rassemblé dans une production hexagonale. Jeunes loups et monstres sacrés se tournent autour, dans une danse curieuse, inégale mais irrésistible, qui évoque souvent Les Diablogues de Dubillard.

Mais beaucoup plus qu'une simple friandise dédiée au cinéma français, ou une rêverie à l'adresse des spectateurs passionnés par nos acteurs, le film se veut un poème assez bouleversant sur le temps qui passe, l'impossibilité d'être soi-même, et quantité de questionnements qui harponnent tout un chacun. Et puis bon, les dialogues de Blier, déclamés par quelques-uns des meilleurs acteurs de leur temps, ça ne se refuse pas.

Si tu aimes : Voir Josiane Balasko se transformer en André DussollierJean-Pierre Marielle mettre Paris à feu et à sang pour un petit pot d'eau chaude, Jean Yanne se foutre de la tronche des comédiens, Pierre Arditi se faire bien gifler la carafe et Gérard Depardieu encastré dans un abribus.

 

photo, Jean-Pierre MarielleFragile, les nerfs...

 

LES TROIS FRERES

De quoi ça parle : Le même jour, trois hommes découvrent qu'ils sont frères et héritent de 3 millions. Mais dix jours plus tard, l'héritage est détourné... et la galère commence pour trois frères qui n'ont que faire d'être frères.

Pourquoi c'est bien : La famille c'est sacré, qu'on l'aime ou pas, qu'on le veuille ou non. Pascal Légitimus, Didier Bourdon et Bernard Campan, dont les deux derniers sont à la réalisation, présentent l'histoire de trois frères pas vraiment fait pour s'entendre mais réunis par un héritage sacrément juteux. Sur le motif des "100 patates" qui les font miroiter, les personnages vont être forcés de s'appréhender et de surmonter leurs différences : le riche, le péquenaud et l'arriviste.

La jouissance vient des petits détails qui parsèment ce film, où on lit Montaigne, on galère à s'occuper d'un gosse dont la mère est absente le soir parce que "hôtesse de l'air" (mais elle est finalement bien hôtesse de l'air), et où l'on devient gentiment truand, avant de se bastonner sur un plateau télé et de finir cantiniers.

Si tu aimes... et que tu es nostalgique des Inconnus.

 

photoLes sous-sous pas dans la po-poche

 

STEAK

De quoi ça parle : De deux amis séparés par la chirurgie esthétique, un clan de bad boys nommés Shivers, une histoire de morts, de tronçonneuse et de fuite.

Pourquoi c'est bien : Parce que ça ne ressemble à absolument rien d'autre. Enorme bide à sa sortie, en grande partie parce que personne n'attendait ça d'Eric et Ramzy, Steak est surtout la naissance de Quentin Dupieux, moqué à l'époque, et depuis étiquetté super-cool avec Rubber, Réalité et Au poste !.

Certes, Steak est plein de défauts, et est clairement conçu pour dérouter, exaspérer, et jouer avec les nerfs du spectateur. Mais tout ça en fait d'autant plus un objet unique, d'une audace inouïe dès qu'il s'agit d'étirer la gêne, et confronter le public à des sentiments rares au cinéma. Avec en plus une inventivité irrésistible pour créer ce monde improbable, et une poignée de scènes cultes ("Mou, soyeux. C'est pas agréable", "Non non ça va, je fais juste une fellation à ce monsieur", "On va pas le laisser fumer sans réagir", le sport de batte et calcul mental, et bien sûr le cours sur les solvants et solutions), Steak est définitivement conseillé.

On parlait de ce film inclassable dans un dossier.

Si tu aimes : les Monty Python et ZAZ

 

photoShivers forever

 

SUR LA PISTE DU MARSUPILAMI

De quoi ça parle : De comment notre Jedi à nous, Alain Chabat, s'empare d'une des plus attachantes créations de la comédie française, en y injectant sa propre fantaisie, qui fit déjà des merveilles au contact d'un certain Astérix.

Pourquoi c'est bien : Avec son casting hétéroclite et sa bande-annonce pas franchement rassurante, Sur la Piste du Marsupilami n'a pas rassuré et avouons que ses effets spéciaux très inégaux piquent un peu les yeux. Mais à condition de dépasser ces réticences légitimes, il y a bien des raisons de se laisser charmer par le film d'Alain Chabat, à commencer par l'enthousiasme avec lequel il s'efforce de transformer en langage cinématographique l'excellence de la bande-dessinée franco-belge. Réflexion maline sur les couleurs autant que jeu de mouvements, ce récit  enchante souvent.

L'autre source d'amusement provient, et on ne s'y attendait pas forcément, d'un festival de seconds rôles parfaitement tarés, qui s'inspirent des oeuvres de Franquin, sans chercher à les répliquer. Parmi eux, Lambert Wilson compose un dictateur militaire transformiste fan de Céline Dion inoubliable, qui laisse songeur quant à ce que Chat pourrait générer d'hallucinations s'il s'attaquait à un méchant aussi haut en couleur que Zorglub.

Si tu aimes : Si vous ne vous êtes toujours pas remis de Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre.

 

photoOn vous promet que c'est beaucoup moins moche que ça en a l'air

 

RRRrrrr !!!

De quoi ça parle : Une comédie préhistorique sur l'affrontement de deux tribus : les Cheveux Sales contre les Cheveux Propres. L'enjeu de cette lutte acharnée : la quête du shampooing.

Pourquoi c'est bien : Imprononçable et impossible à orthographier, ce film sur la vie préhistorique de tribus ennemies est devenu culte par le propos décalé qu'il soutient. Il y a 35 000 ans, la troupe des Robins des bois, Gérard Depardieu et Alain Chabat menaient l'enquête du premier "criiime" de l'humanité. Le type était de "dos", si bien qu'on pris la décision d'arrêter tous les hommes qui étaient de "dos" la veille.

La langue française est sans cesse détournée dans cette comédie aussi préhistorique que novatrice, et elle emmène le spectateur dans un balancier savant entre jeux de mots et rire brutal. Le décalage permanent entre l'Âge de pierre et notre société n'est finalement qu'une excuse pour s'embarquer dans ce que savent si bien faire ces acteurs : le loufoque audacieux.

Si tu aimes : Les Robins des Bois et que tu considères qu'Alain Chabat est vraiment maître en matière de comédie.

 

photo, Alain ChabatIncantation au dieu Rire

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commentaires
arcade
20/01/2021 à 15:05

Marsupilami c'est juste le pire navé de toute l'histoire des navés. On sait quand on est censé rire (mise en scène fort subtile s'il en est...) mais on ne sourit même pas. Sommet de toute cette nulitude extrême: le viol de l'oreille de Jamel Debouze par un yorkshire. Jamais rien vu d'autant pas drôle et pourtant j'ai vu "la vie est belle" et "la rafle".

Prune
30/10/2020 à 21:43

Déjà vu!

Jean 2020
29/10/2020 à 11:05

Tous les films ne m'intéresse pas

Sess
06/04/2020 à 12:46

Pareil, je vois la tentative, mais Enfermés dehors fut un supplice au cinéma.

Sess
06/04/2020 à 12:45

Radiostars
Problemos (dans une moindre mesure)

Rarissimes les comédies réussies.
Ratio comédies produites / réussies terrible...

Marion Barlet
06/04/2020 à 09:27

@lacrimafundi
oups
c'est corrigé, merci !

Stridy
06/04/2020 à 09:16

Steak c'est juste magique.

Ded
06/04/2020 à 01:09

"Steak" est l'éloge de la crétinerie. Absolument jubilatoire. A (re)découvrir...

Abibak
05/04/2020 à 16:17

Marsupilami? Vraiment ??

Lacrimafundi
05/04/2020 à 15:57

Les trois frères c'est si on est nostalgique des inconnus pas des nuls !????

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