Green Lantern : pourquoi ça a failli être un bon film de super-héros

Prescilia Correnti | 2 septembre 2022 - MAJ : 07/09/2022 18:22
Prescilia Correnti | 2 septembre 2022 - MAJ : 07/09/2022 18:22

Ryan Reynolds lui-même s’en moque encore éperdument aujourd’hui. Mais finalement, est-ce que Green Lantern est si mauvais ?

2008. Marvel débarque en trombe avec son blockbuster de l’année : Iron Man. Adoré autant par les fans de la première heure, que des spectateurs qui s’amassent dans les salles pour aller le voir, le studio voit dans les super-héros un filon inépuisable à porter sur grand écran. La suite de l’histoire vous la connaissez puisque désormais la Maison des Idées se paie le luxe de produire les films qui engrangent le plus au box-office, établissant même le plus gros record avec son apogée Avengers : Endgame.

Mais si Marvel a habilement manœuvré les ficelles de son empire super-héroïque, il y a un autre studio qui a bien tenté de prendre le train en marche sans y parvenir, et c’est malheureusement Warner Bros..

 

Photo Tim RobbinsPhoto rare des PDG de la Warner plutôt contents de leur film avant sa chute 

 

À l’été 2011, les Avengers ne s’étaient pas encore réunis, tandis que Ryan Reynolds tentait désespérément de réaliser un film Deadpool à partir des cendres du personnage issu de l’affreux X-Men Origins : Wolverine. De son côté, la Warner comptait bien étendre son empire héroïque, en commençant avec Green Lantern. À priori de second plan, le personnage regorge d’un univers assez riche et passionnant pour permettre à Warner Bros. d’espérer une continuité cinématographique plus large avec, sans doute, l’espoir de faire des croisements avec d’autres héros de DC. Sur le papier, tout était là pour fonctionner. Malheureusement, le plan ne va pas exactement se passer comme prévu.

Avec Green Lantern, Warner signe l’un de ses pires échecs au cinéma. Le film qui devait être le fer de lance d’un univers étendu devient la risée des longs-métrages de super-héros sur Internet. Pourtant, soyons un peu honnête, il y a quand même eu pire dans le registre des adaptations : Catwoman,  Elektra ou encore Daredevil pour ne citer qu’eux, et tout dans Green Lantern n’est pas à jeter à la poubelle.

 

photoC'est intéressant, tu peux continuer

 

LANTERNE RELAIS

Green Lantern a connu un nouveau succès flambant auprès d’un nouveau panel de lecteurs en 2005, lors de la parution du run de Geoff Johns qui a permis de le dépoussiérer un peu. Avec son Green Lantern Rebirth, le justicier intergalactique renaît de ses cendres et devient soudainement beaucoup plus attirant qu’il ne l’était à l’époque.

D’un personnage de second rang, Geoff Johns (qui n’a jamais caché son amour pour le héros) le (re)met devant les feux de la rampe. Nouveau design, nouvelle histoire, Hal Jordan nous emporte avec lui vers de nouvelles contrées galactiques. C’est sans doute cette relance par l'auteur DC qui a donné quelques idées à Warner pour son film. Cette touche de Geoff Johns, on la retrouvera très fortement dans le film de Martin Campbell, surtout au niveau du design des personnages. Heureusement, ce n'est pas la seule histoire vers laquelle les scénaristes vont se tourner et on retrouvera malgré tout la patte de quelques vieux scénaristes.

Le héros a une (très) très longue histoire derrière lui. Et bien que la série de comics de Geoff Johns ait fait ses preuves, il y en a eu de nombreuses et d’excellentes avant lui : O’Neil/Adams avec Green Arrow et Green Lantern, Englehart/Staton avec Green Lantern Corps, Darwin Cooke avec l’immanquable The New Frontier ou encore le duo Giffen/Bright sur Green Lantern : Emerald Dawn. 

 

photo"Ne regarde pas les commentaires, ne regarde pas les commentaires"

 

Au cours de ses années d’existence, Green Lantern a vu son histoire d’origine racontée différemment et à plusieurs reprises, mais c’est celle du Silver Age, dans la série Showcase de John Broome et Gil Kane, dont les scénaristes vont s’inspirer pour leur film. Dans cette version on retrouve, à l’instar du long-métrage, Hal Jordan, un pilote d’essai casse-cou, bad boy, n’en faisant qu’à sa tête, propulsé au rang de super-héros intergalactique après avoir été choisi comme successeur par un extraterrestre mourant, Abin Sur.

Après avoir enfilé l’anneau, ce dernier se rend compte qu’il fait partie d’un « tout » encore plus vaste, et surtout d’un corps de police intergalactique nommée Les Green Lantern Corps, sous la tutelle des Gardiens de l’Univers. Pour l'anecdote, dans la version du run de Geoff Johns, dès qu'un Green Lantern meurt - et dieu seul sait que nombreux sont décédés au cours de son histoire - leur anneau s'envole pour choisir un remplaçant. La recherche n'est pas laissée à l'appréciation des anneaux puisque Mogo, une planète vivante qui est aussi une Lanterne Verte, dirige les anneaux pour trouver les hôtes.

 

photoS'il ne la veut pas, nous on la prend bien cette bague

 

Ce n’est pas non plus la seule chose dont les scénaristes vont s’inspirer. Dans la version du Silver Age, Hal Jordan devient le premier super-héros à avoir une famille (oui, ça étonne) avec deux frères, Jack et Jim, campés par Mike Doyle et Nick Jandl. La belle Carol Ferris (Blake Lively) fait aussi son apparition.

Rare à l’époque, Carol Ferris est une femme d’autorité, responsable de Ferris Aircraft et pilote chevronnée. Enfin, comme le Green Lantern de l’âge d’or, Alan Scott, l’anneau de Hal Jordan a une petite « faiblesse ». Pour régénérer son énergie, une lanterne qui possède un anneau vert doit le placer devant la lanterne de son corps et réciter un serment qui deviendra son mantra. 

C’est d’ailleurs dans le run Green Lantern : Rebirth que l'écrivain Geoff Johns a révélé que l' "impureté jaune" était le résultat de Parallax, une énergie jaune faite de pure peur, qui avait été emprisonnée dans la Batterie centrale. Ce changement dans l'histoire fictive a également permis aux personnages de surmonter la faiblesse jaune en reconnaissant la peur qui se cache derrière et en y faisant face. Ça ne vous rappelle rien ? 

 

photo, Ryan ReynoldsOn sent bien la conviction d'ici

 

CORPS NON-IDENTIFIÉ 

Commençons donc par le premier gros point positif du film : la mise en avant des races extraterrestres. Vous allez nous dire, heureusement, puisque c’est tout de même l’une des bases mêmes du comics, mais c’est important le rappeler. Ainsi le film de Martin Campbell a tout de même brillamment mis en avant la mort de Abin Sur (Temuera Morrison, qui a joué Jango Fett dans Star Wars : Episode II - L'Attaque des clones). L'atterrissage en catastrophe de l’alien à la peau rouge sur Terre, l'envoi de son anneau pour choisir un successeur et l'échange qui s'ensuit avec Hal, ressemblent exactement à ce que l'on voit dans les bandes dessinées. 

Les scénaristes avaient ainsi proposé de retravailler la fuite d’Abin Sur vers la Terre en lui faisant non pas croiser la route d’Atrocitus (le membre pionnier du corps des Red Lanterns et originellement celui qui le tue), mais celle de Parallax. Ce qui au final n’est si pas mal puisqu’il fidélise à la perfection l’image du héros dans le comics en nous montrant bien qu’il est incorruptible à la peur et qu’il était le plus valeureux guerrier des membres des Green Lanterns Corps.

 

photoOn t'aime Abin

 

Les Gardiens, membres fondateurs des Green Lanterns Corps sont aussi bien dépeints. Leurs designs et leurs voix ont permis de donner du caractère, une identité ainsi qu’une individualité à chacun d'entre eux. C'était d'ailleurs assez bien mis en scène de voir les Gardiens dicter le rythme du Corps sur Oa, qui, en passant, est très agréable à visiter. Sayd et Ganthet sont des éléments importants du mythe, alors les voir s'affirmer au conseil de Sinestro était intéressant à voir. Nous aurions pu avoir besoin de plus de Scar, qui s'est associé à l'angle de la "Nuit la plus noire" dans les comics, mais dans l'ensemble, disons que c’était satisfaisant.

Qui plus est, les scénaristes ont assez bien dépeint la philosophie globale des Gardiens, présentés comme des êtres neutres, voire totalement détachés de ce qu’il passe à l’extérieur d’Oa. La preuve où, sous les acclamations de Sinestro réclamant plus d’aide, les Gardiens ont préféré ne pas agir.

Côté design des acolytes, le film ne déçoit pas non plus. Kilowog, personnage emblématique de la série, apparu dans les pages de Green Lantern Corps en 1986, sous la plume de Steve Englehart, est superbement mis en scène par Michael Clarke Duncan. Si son costume n’est peut-être pas incroyable, son allure aura quant à elle le mérite de nous renvoyer directement aux comics comme s’il en sortait. De même que Tomar-Re (Geoffrey Rush) dispose d'un look tout aussi soigné et travaillé, fidélisant à merveille son homologue papier. Notre seule déception : ne pas les avoir vus assez.

 

photoAllez, c'est pas mal quand même

 

LA PEUR EN JAUNE

Au sein des Green Lanterns Corps il y en a un dont la réputation a dépassé celle des précédents Green Lantern terriens : Sinestro. Cet ancien membre du corps de la justice céleste, jugé comme étant le plus grand des Green Lantern à son apogée, va très vite voir son destin chamboulé après plusieurs événements tragiques dans les bandes dessinées (perte d’Abin-Sur, décès de sa fille, perte de sa femme, trahison de Hal). Ce qui le conduira, très grossièrement, à vouloir se venger de Hal, des Gardiens et des Green Lantern Corps en prenant possession d’un anneau de couleur jaune. 

Terriblement charismatique, froid et glacial, Sinestro est devenu au fil des années l’un des méchants phares de la série Green Lantern. Autant dire que son apparition était plus que chaudement attendue, et fort heureusement, elle est impeccable. 

 

photoTa popularité n'ira pas plus loin

 

Sinestro est exactement comme nous voulions qu’il soit, bien qu’il soit largement inspiré de la version la plus récente des comics : celle de Geoff Johns et du dessinateur Ethan Van Sciver. Au-delà de l’apparence, c’est aussi sa personnalité qui est plus que respectée. On le voit imperturbable face à un Hal Jordan désespéré lorsque sa Terre est attaquée, mais, aussi, très attaché à l’ordre, comme dans sa séquence d’entraînement ou alors dans son envie de pouvoir et de justice lorsqu’il décide d'accaparer la « force jaune ». 

Mark Strong a donné une performance intimidante à son héros. Tout au long du film, on pouvait voir son désir grandissant de régner sur la galaxie avec une main de fer, même aux dépens du Corps ou des Gardiens si nécessaire. Sa représentation était somme toute très fidèle aux comics et l'un des points les plus brillants du film. Il aurait pu clairement devenir un méchant qu'on aurait adoré détester à la philosophie plus ambiguë qu'un vilain classique. C’est sûrement ce qu’auraient espéré faire les scénaristes si le succès avait été au rendez-vous. Mais si Sinestro a été le meilleur atout du film, ça s’arrêtera là.

 

photoNous aussi on aurait aimé voir ça, mais ça n'arrivera jamais

 

FEU VERT

"Les limites de la bague ne sont que celles que tu peux imaginer " explique Tomar-RE à Hal Jordan. Batman a peut-être une ribambelle de gadgets à la pointe de la technologie, Superman une force herculéenne, Green Lantern possède lui l’une des armes les plus cool et les plus puissantes à manier de tous l’univers de la bande dessinée. Pour qu’un peu sa volonté soit d’acier et son esprit imaginatif, Hal peut avoir des capacités illimitées.

Exemple, dans la série Showcase, Hal est capable pour la première fois de voler, de soulever une montagne ou encore de se dématérialiser à travers un mur. Plus étrange, mais véridique, dans un des numéros, Hal s’est même transformé en enveloppe pour espionner ses ennemis.  

 

photo, Ryan ReynoldsVers l'infini et au-delà 

 

L’anneau de Hal Jordan était donc un peu l’élément central du film, et ses projections, la plaque tournante. Alors s'il y a, certes, de quoi être largement déçu à propos de la scène principale où toute l’attention est portée sur une vulgaire piste de Hot Wheels, les quelques scènes de combat sont tout de même plaisantes à regarder. Notamment l'affrontement final contre Parallax où Hal se montre un peu plus ingénieux.

Le film se plait même à glisser quelques références aux comics. L’exemple le plus frappant se trouve dans les pages des premières histoires de Green Lantern du Silver Age, lorsque les scénaristes ont l’idée de réduire les capacités de l’anneau pour forcer le jeune héros à combattre à mains nues. Alors, quand dans le film, Hal projette un énorme coup de poing dans la tronche de trois pauvres types dans un parking et bien, on y voit une petite référence sympathique.

 

photo, Ryan ReynoldsUn anneau pour les guider tous ?

 

ERREUR DE COMMUNICATION

Malgré ces bons points, Green Lantern n’est malheureusement pas connu pour sa franche réussite. Avec un budget de production qui se serait élevé à 200 millions de dollars, on se doute un peu que le studio n’a finalement pas été content du résultat au box-office puisqu'il n’a rapporté « que » 219 millions de dollars dans le monde entier. Le film n’a pas non plus été bien accueilli par la critique, sa note moyenne étant de 26% sur Rotten Tomatoes. Alors, pourquoi est-ce que ça n'a pas fonctionné ? 

Au-delà de l’exposition ou des CGI complètement ratées, les problèmes commence avant même que la rédaction de l'histoire débute. Initialement, en 2007, Warner dépêche Greg Berlanti de co-écrire un scénario aux côtés de Michael Green et Marc Guggenheim, et si ces derniers réussissaient, ils seraient chargés de s’occuper de la continuité de l’univers cinématographique avec The Flash. Malheureusement, Greg Berlanti est réaffecté sur un autre projet et remplacé par Martin Campbell, en 2009.

 

photo"Bon, maintenant arrêtez vos conneries, ça commence à bien faire" 

 

Une nomination qui a n'a certainement pas aidé le film pas puisque Campbell n’avait encore jamais réalisé un long-métrage en images de synthèse. Plus tard, Michael Goldenberg a été amené à réécrire le scénario de Greg Berlanti. Partant du principe que ce monsieur a transformé le tome le plus compliqué de la saga Harry Potter, L’ordre du Phénix, en un des scénarios les plus condensés de la franchise, on comprend désormais un peu mieux les énormes ellipses narratives qu’on retrouve dans Green Lantern.

Dans une interview sur Deadpool, Reynolds avait déclaré à Yahoo ! Movies : "Lorsque nous avons tourné Green Lantern, personne n'a eu l'occasion de lire le scénario, car le scénario n'existait pas. Je ne m'en plains pas - c'était l'occasion d'une vie, et si je devais revenir sur mes pas, je ferais probablement tout exactement de la même manière ".

De plus, des rapports font état de reshoots en urgence en janvier 2011 ou encore d’une conversion en 3D de dernière minute. Le pire : tout le monde, de Geoff Johns, co-producteur, à Jeffrey Robinov, le directeur de la Warner, s’est impliqué dans le processeur de montage du film. D’énormes pans du long-métrage ont été coupés là où d’autres n’ont aucun sens. L'exemple le plus concret reste le moment où Sinestro, qui vient juste de faire un discours sur sa foi dans les Green Lantern Corps comme fer de lance contre la peur, part ensuite en croisade contre les Gardiens pour fabriquer un anneau jaune. 

 

photoImage rare de Campbell n'ayant plus aucun contrôle sur son film

 

En plus des performances bancales de Ryan Reynolds et Blake Lively, Parallax et Hector Hammond (Peter Sarsgaard) n'ont pas été les meilleurs choix en tant que méchants pour lancer l'univers. L'image de synthèse est sale et tachetée, les personnages sont mal traités... La faiblesse du scénario du film ne rendait pas hommage à ces personnages extrêmement imposants dans les comics. Il était impossible de pouvoir les adapter correctement à l'écran de cette manière.

Cependant, ce qui blesse vraiment le film est qu'il donne l'impression que les cinéastes n'ont pas voulu s'approprier et approfondir la vaste et surréaliste mythologie que représentent les Green Lantern. Il aurait pu s'agir d'un space opera sublime de DC qui aurait pu rivaliser avec Star Wars et Star Trek, mais au lieu de cela, la portée du film semble trop limitée et fait passer l’un des héros les plus emblématiques du panel DC pour un vulgaire moustique qu’on aurait envie d’éclater contre la vitre un soir de plein été.

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commentaires
CGI Detox
03/09/2022 à 19:27

je l'ai vu en dvd à l'époque, ...peut être pas le meilleur format , mais alors qu'il était laid, ce film, !
des Cgi a faire saigner les rétines!
et des couleurs kitch
un film recent aussi laid qui me vient en tete avec des cgi pourries ,vu le budgets c'est Black panther, Lui, zero excuse, car les effets numeriques, fin anneés 2010, normalment çà vaut largement mieux que ceux conçus,10 ans avant ,sur green lantern!
je me demande ce que çà donne en 1080P ou 4k ce green lantern, si jamais çà sort en 4k; lol mais je tiens trop à mon temps de cerveau dispo et à mes rétines, si quelq'un peut me dire ce que çà donne en 2022 un Green lantern en 1080p, en matiere de visuel ?
merci bien

Flo
03/09/2022 à 13:07

Non, "Daredevil" est bon (et un peu mieux équilibré, version courte ou longue).

John Spartan
02/09/2022 à 22:16

En ce qui me concerne je le trouve assez plaisant malgré tout ces défauts.
Un plaisir coupable, sans doute.

Bilbo
02/09/2022 à 21:12

En fait il est bien meilleur que la plupart des Marvel.

major fatal
03/01/2021 à 23:19

Il est pas pire que les autres.

Flo
03/01/2021 à 19:21

moi perso j'avais plutôt bien kiffer

Gloss
30/12/2020 à 18:41

@dahomey
En fait non,Parallax est l'entité de la peur,c'est à dire des lanternes jaunes.Il a été emprisonné dans la batterie centrale de Oa jusqu'à ce qu'il prenne possession du corps de Hal lorsque ce dernier était devenu fou et détruisait la batterie (à voir dans le prequel de Zero Hour,le cross-over de DC où Hal/Parallax est l'antagoniste) .Hal se sacrifiera plus tard et deviendra le nouveau Spectre,puis se séparera des deux entités pour redevenir un Green Lantern.Quand à Parallax, il prendra possession de Kyle Rayner lors de Sinestro Corps War et deviendra l'entité du Sinestro corps.
Je te conseille de les lire,tu te rendras compte que l'univers de green lantern est l'un des meilleurs univers jamais crées.

MiickeyOne
30/12/2020 à 15:45

Le plus gros problème du scénario c'est qu'ils l'ont tellement infantilisé pour en faire des montagnes russes pour toutes la familles qu'ils en ont oublié d'en faire des vrais enjeux. Hal est beau, grand, costaud, et c'est le meilleur ! que peut il lui arriver à part vendre du jouet pour Noël ? Le scénario est une campagne pour catalogue de jouets... Et j'en étais le premier triste.

Bon en plus l'overdose de CGI vert, même les supporters stéphanois ont eu mal aux yeux !

dahomey
30/12/2020 à 14:09

ca dépend du comic de référence il me semble que lui et Parallax soient la même personne ? c'est "une " des origines ?

Simon Riaux
30/12/2020 à 13:47

@Rayan Montreal

Etant donné qu'on ne réhabilite pas cette bonne grosse purge des familles... Difficile de vous répondre.

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