The Nightingale : le nouveau film de Jennifer Kent, réalisatrice de Mister Babadook, se dévoile dans un trailer vengeur

Déborah Lechner | 23 mai 2019 - MAJ : 09/03/2021 15:58
Déborah Lechner | 23 mai 2019 - MAJ : 09/03/2021 15:58

Après son film d'épouvante Mister Babadook, la réalisatrice Jennifer Kent revient avec The Nightingale.

Cinq ans après avoir marqué les esprits avec l'épouvantable Mister Babadook, la réalisatrice australienne Jennifer Kent revient avec son nouveau film, The Nightingale. La société IFC Films a publié le premier trailer officiel du film qui a été présenté à la Mostra de Venise en septembre 2018 et est même reparti avec le prix spécial du jury.

 

 

Les événements de The Nightingale se déroulent en 1825 quand l’Australie était encore en pleine colonisation. Le film suit le personnage de Clare, interprété par Aisling Franciosi (Jimmy's HallThe Fall), une Irlandaise de 21 ans condamnée à sept ans d’emprisonnement.

A sa libération, la jeune femme se lance à la poursuite de l’officier britannique Hawkins, incarné par Sam Claflin (Blanche-Neige et le chasseur, Hunger Games : L'Embrasement) responsable d’un drame familial. En chemin, elle rencontre un autochtone solitaire du nom de Billy, joué par l'acteur novice Baykali Ganambarr, à qui elle demande de l’aide pour accomplir sa vengeance.

Le film est attendu pour l'été prochain aux Etats-Unis. Sans distributeur en France pour le moment, le film n'a pas de sortie chez nous.

 

Affiche

Tout savoir sur The Nightingale

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commentaires
captp
27/02/2021 à 20:04

C'est sortie sur une plate forme car je lis des tres Bons retours sans trop comprendre comment ils l'ont vu?

william lee
18/10/2020 à 18:35

Le film a été projeté aux Hallucinations collectives au Comoedia à Lyon en septembre 2020 et a reçu le prix du jury...
J'ai fait le déplacement exprès...Ce film est excellent à plusieurs niveaux : historique, social, langage, genre. Dur, violent mais jamais putassier. La réalisation joue d'un certain nombre de cadres rapprochés qui disent à la fois l'absence de champs, (quel horizon possible ?) mais aussi la douceur, comme une main qui viendrait caresser les peaux tuméfiées des personnages. Les scènes sont d'une grande justesse. Jennifer Kent est une très grande réalisatrice.