Vivarium : pourquoi il ne faut pas rater ce réjouissant cauchemar

Elliot Amor | 11 mars 2020 - MAJ : 11/03/2020 14:30
Elliot Amor | 11 mars 2020 - MAJ : 11/03/2020 14:30

Vivarium, de Lorcan Finnegan, est dans nos salles ce mercredi 11 mars. On vous explique en vidéo pourquoi il n'y a aucune raison de le rater.

Le film avec Jesse Eisenberg et Imogen Poots a plu à beaucoup de monde lorsqu'il a fait la tournée des festivals, il a notamment plu à notre rédacteur Simon Riaux qui prend le temps de vous en parler. Si la vidéo vous plaît, partagez-la et abonnez-vous (sinon, le monteur sera gardé en otage). Bon visionnage !

Pour la critique écrite, c'est ici.

 

 

Ceci est un article publié dans le cadre d'un partenariat. Mais c'est quoi un partenariat Ecran Large ?

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commentaires
Oldskool
13/03/2020 à 13:46

Ça doit faire au moins 30 balais que je répète à qui veut bien l'entendre que toutes les productions de ces dernières décennies (un temps soit peu décalées) sont TOUTES ! MAIS ALORS TOUTES, des copiées collées (même innocemment) des épisodes des séries des années 50, 60 : La quatrième Dimension ou Alfred Hitchcock's presents... Alors après les scénaristes, réals, acteurs, brodent autour avec plus ou moins de talents. Est-ce pour autant qu'ils faut ne pas les visionner ? Certainement pas mais c'est frustrant de ce dire que tout a déjà été fait... Snif...

Karna
12/03/2020 à 10:08

En visionnant la bande-annonce, j'ai eu l'impression d'avoir le résumé complet du film. Une fois de plus.

MystereK
11/03/2020 à 21:41

Vu dans un festival l'année dernière, la majorité de la salle est sortie dépitée de la projection qui a eu beaucoup de mal à passer.

Simon Riaux
11/03/2020 à 14:55

@Hank Hulé

Les gars, on vous fait un petit encart exprès pour que vous puissiez aller vous renseigner, donc n'hésitez pas à le lire hein ;)

Pour répondre à vos questions : c'est systématiquement négocié APRES visionnage, puisque par définition, on ne peut pas s'engager à soutenir un film qu'on n'a pas vu.

Dans le cas présent, c'est même sacrément transparent, je pense que vous pourrez trouver des tweets d'Alexandre et de moi-même datant de 10 ou 11 mois traitant de notre ressenti autour du film, qu'on a donc vu bien avant qu'il ne soit possible de discuter partenariat avec qui que ce soit.

Il peut arriver qu'on soit contactés par un distributeur, mais par définition c'est très rare, puisqu'à priori on connaît et on surveille les plannings de sortie des films. En revanche, il peut arriver qu'un distributeur nous contacte pour nous signaler qu'ils sont prêts à montrer un film vraiment très en amont de sa sortie, quand on est connus pour apprécier particulièrement le travail d'un réalisateur par exemple.

Hank Hulé
11/03/2020 à 14:41

Vendus !
petites questions : le partenariat est négocié avant ou après visionnage ? Qui en a l'initiative ? EL ou le distributeur ?

Simon Riaux
11/03/2020 à 14:31

@ttopaloff

Techniquement, c'est plutôt nous qui sponsorisons le film non ?

On ne s'en cache pas du reste, puisqu'on explique ici et dans l'article comment on procède en la matière : https://www.ecranlarge.com/partenariats

ttopaloff
11/03/2020 à 14:26

Pourquoi il ne faut pas rater ce réjouissant cauchemar ?

Parce qu'ils vous sponsorisent ? :)

Oui enfin bon...
11/03/2020 à 14:00

Désolé mais non. J'ai vraiment eu l'impression de voir un court métrage très malin mais dilué pour en faire un long et qui se cogne à son propre concept. Je ne veux rien divulguer, mais les flous volontaires du deuxième acte me font penser que le réalisateur tente de faire passer les incohérences et les facilités pour de la mise-en-scène. C'est vrai que le premier acte est très fort, mais c'est justement cette promesse qui finalement n’aboutit qu'à une très belle mais unique séquence à la fin qui me frustre. Entre ces deux pôles, il n'y pas grand chose. Sans parler du fait que si la critique est celle d'un quotidien morose pour ceux qui choisissent ce genre de logement, c'est pauvre et un peu condescendant.