Critique : necronomicon
Il n'y a pas si longtemps, dans une galaxie pas si lointaine que cela, alors que le cinéma français de genre semblait s'être perdu depuis longtemps dans les brumes
Il n'y a pas si longtemps, dans une galaxie pas si lointaine que cela, alors que le cinéma français de genre semblait s'être perdu depuis longtemps dans les brumes
Amenábar / Shyamalan : même combat Si les deux réalisateurs partagent en effet un goût commun pour le fantastique (les fantômes avec Sixième sens, les comics
Alejandro Amenábar est un réalisateur talentueux et roublard.
Si l'on considère le thème récurrent, conscient et pleinement assumé de la mort comme fil conducteur des uvres précédentes d'Alejandro Amenábar (Tesis,
Rien de neuf ou presque sous le « soleil » de la comédie teen-ager américaine. Sous ses allures de film plus cynique que les autres, plus mature, Lolita malgré
Indéniablement, Just a kiss marque une rupture dans l'uvre de Ken Loach. Dès les premiers plans, le contexte de l'histoire tranche avec les habitudes du réalisateur
Il y a ceux qui connaissent et ceux qui ne connaissent pas la période hollandaise de Verhoeven. La sortie de ce coffret est donc une bénédiction tant il permet
Déformé par deux suites, deux séries télévisées ainsi que de nombreux jeux et jouets pour enfants, l'empreinte de Verhoeven ne semble aujourd'hui qu'un logo,
Sous ses airs de film de divertissement plus grand que nature, Starship Troopers élève le second degré au rang d'art.
Conforté par le succès critique et public de Basic instinct, Verhoeven s'engage à nouveau aux côtés de Joe Eszterhas sur un sujet à haute teneur polémique.
Ce premier film de Verhoeven financé intégralement par un studio américain recèle, dès la lecture de son titre, une promesse.
Tsai Ming-liang, le réalisateur de The Hole et de Et là-bas, quelle heure est-il ?, peut être présenté comme l'anti-Tony Scott. Son style est en effet composé