Critique : Thirst, ceci est mon sang...
Après les militaires (JSA), les vengeurs (Sympathy, Old boy, Lady) et les aliénés (Je suis un cyborg), Park Chan-Wook s'invite au bal des vampires, en vogue ces
Sang-hyun est un jeune prêtre coréen, aimé et respecté. Contre l'avis de sa hiérarchie, il se porte volontaire pour tester en Afrique un vaccin expérimental contre un nouveau virus mortel. Comme les autres cobayes, il succombe à la maladie mais une transfusion sanguine d'origine inconnue le ramène à la vie. De retour en Corée, il commence à subir d'étranges mutations physiques et psychologiques : le prêtre est devenu vampire. Mais la nouvelle de sa guérison miraculeuse attire des pélerins malades qui espèrent bénéficier de sa grâce. Parmi eux, Sang-hyun retrouve un ami d'enfance qui vit avec sa mère et son épouse, Tae-Ju. Il succombe alors à la violente attirance charnelle qu'il éprouve pour la jeune femme...
Après les militaires (JSA), les vengeurs (Sympathy, Old boy, Lady) et les aliénés (Je suis un cyborg), Park Chan-Wook s'invite au bal des vampires, en vogue ces
Souvent considéré comme un des films les plus mal-aimés de son auteur, Thirst de Park Chan-wook est pourtant une expérience folle qui mérite d’être réhabilitée.