Critique : Rapt
Rapt ou la raison du plus fort. Impossible de ne pas voir dans
le dernier film de Lucas Belvaux, le complément, entre miroir déformant et face
d'une même
Critique - Film
17/11/2009
Homme d'industrie et de pouvoir, Stanislas Graff est enlevé un matin comme les autres devant son immeuble par un commando de truands. Commence alors un calvaire qui durera plusieurs semaines. Amputé, humilié, nié dans son humanité, il résiste en ne laissant aucune prise à ses ravisseurs. Il accepte tout sans révolte, sans cri, sans plainte, c'est par la dignité qu'il répond à la barbarie.
Rapt ou la raison du plus fort. Impossible de ne pas voir dans
le dernier film de Lucas Belvaux, le complément, entre miroir déformant et face
d'une même