Godzilla minus one : critique du vrai blockbuster de fin d'année
Le grand retour de Godzilla est éphèmere, mais non moins spectaculaire.
Le grand retour de Godzilla est éphèmere, mais non moins spectaculaire.
Après le casse de Super Mario Bros, le studio d'animation Illumination est de retour avec Migration, une histoire qui ne casse pas trois pattes à un canard.
Gilles Lellouche et Mélanie Thierry doivent survivre sur une île déserte dans Soudain seuls, réalisé par Thomas Bidegain.
Le réalisateur légendaire allemand Wim Wenders, reconnu pour son exploration du road trip américain revient avec Perfect Days porté par l'acteur Kôji Yakusho.
Après Moi, Tonya et Cruella, Craig Gillespie s’attaque à l’affaire GameStop dans Dumb Money, avec Paul Dano, Pete Davidson et Seth Rogen.
Toujours en quête d'une carrière solo, John Cena tente sa chance avec Freelance sur Amazon Prime Video, sommet d'ennui en matière de film d'action familial.
Bertrand Mandico s'attaque à Conan le barbare dans son Conann. Et forcément, on est très, très loin des biscoteaux d'Arnold Schwarzenegger.
Avant son Borderlands et après un détour par le divertissement pour gosses, Eli Roth revient à l'horreur gore dans Thanksgiving – La Semaine de l'horreur.
Attendu au tournant, le film d’animation Mars Express promet de rappeler l’importance de la France dans le domaine de la science-fiction. Pari réussi.
Wish, Asha et la bonne étoile est censé honorer les 100 ans de Disney, même si le film promeut plus l'euthanasie du studio que son anniversaire.
Netflix s'attarde sur l'inspirant Bayard Rustin, homme de l'ombre de Luther King à l'origine de la Marche sur Washington pour l'emploi et la liberté.
Ridley Scott est de retour au cinéma avec son Napoléon porté par Joaquin Phoenix et Vanessa Kirby. Une fresque historique, épique et comique, ça pique !