Critique : Tideland
Après avoir publié il y a quelques semaines une critique élogieuse que vous retrouvez plus bas dans ces lignes, nous vous proposons de lire un avis bien plus
Lorsque sa mère meurt d'une overdose, la petite Jeliza-Rose part s'installer dans une vieille ferme avec son père, Noah, un rocker héroïnomane qui a connu des jours meilleurs. Afin d'échapper à la solitude de sa nouvelle maison, Jeliza-Rose s'évade dans un monde imaginaire.Pour lui tenir compagnie, Jeliza-Rose n'a que les têtes de quatre poupées qui ont perdu leur corps... jusqu'à ce qu'elle rencontre Dickens, un jeune homme ayant l'esprit d'un garçon de dix ans. Vêtu d'une combinaison de plongée, il passe son temps caché dans une carcasse d'autocar, son "sous-marin", attendant de capturer le requin géant qui habite sur la voie ferrée. Dickens a une grande soeur, Dell, une sorte de fantôme vêtu de noir qui se dissimule constamment sous un voile d'apiculteur.
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Pendant que Nos jours heureux ne débute pas trop mal, Tideland a quant à lui beaucoup plus de difficultés à s'imposer, n'obtenant que la quatrième place des
Après Les frères Grimm, film de commande réalisé par un Terry Gilliam en (très) petite forme, le brillant cinéaste repart de plus belle à la charge dans les