Critique : Bons baisers de Bruges
Le concept est alléchant dans ses prémisses surréalistes :
deux tueurs, on ne peut plus britanniques, Ray (Colin Farrell) et Ken (Brendan
Gleeson), sont
Après un contrat qui a mal tourné à Londres, deux tueurs à gages reçoivent l'ordre d'aller se faire oublier quelque temps à Bruges. Ray est rongé par son échec et déteste la ville, ses canaux, ses rues pavées et ses touristes. Ken, tout en gardant un œil paternaliste sur son jeune collègue, se laisse gagner par le calme et la beauté de la cité. Alors qu'ils attendent désespérément l'appel de leur employeur, leur séjour forcé les conduit à faire d'étranges rencontres avec des habitants, des touristes, un acteur américain nain tournant un film d'art et essai européen, des prostituées et une jeune femme qui pourrait bien cacher quelques secrets aussi sombres que les leurs... Quand le patron finit par appeler et demande à l'un des tueurs d'abattre l'autre, les vacances se transforment en une course-poursuite surréaliste dans les rues de la ville...
Le concept est alléchant dans ses prémisses surréalistes :
deux tueurs, on ne peut plus britanniques, Ray (Colin Farrell) et Ken (Brendan
Gleeson), sont
Bières, gondoles et armes à feu, voici les ingrédients de Bons baisers de Bruges, le cocktail criminel de Martin McDonagh avec Colin Farrell.