Critique : Midnight meat train
Alors, bien sûr, Midnight Meat Train, c'est la rencontre improbable entre Clive Barker et Ryuhei Kitamura, entre l'écrivain anglais fantasmagorique et le réalisateur
Leon Kaufman a révélé son talent de photographe à travers des clichés hautement provocants. Décidé à créer l'événement pour sa prochaine exposition, il est prêt à aller encore plus loin dans l'exploration des aspects les plus sombres de l'humanité. Lancé dans une quête obsessionnelle des pires aspects de l'homme, Leon s'intéresse à un tueur en série, Mahogany, qui traque les banlieusards prenant les derniers métros pour rentrer chez eux, avant de les tuer avec une sauvagerie inimaginable. La fascination de Leon pour Mahogany va le conduire de plus en plus loin dans les méandres du métro, au coeur même du mal. Sans le vouloir, il va entraîner Maya, sa petite amie, avec lui. Chaque ticket est peut-être un aller simple vers la mort...
Alors, bien sûr, Midnight Meat Train, c'est la rencontre improbable entre Clive Barker et Ryuhei Kitamura, entre l'écrivain anglais fantasmagorique et le réalisateur
Considéré à tort comme une série B moyenne, Midnight Meat Train met en scène Bradley Cooper et Vinnie Jones dans une réflexion sur les limites morales de l’art.
Si Stephen King domine le monde des adaptations de romans d'horreur, Clive Barker gagne du terrain et ça ne peut que nous faire plaisir.
Il y a 10 ans sortait Midnight Meat Train et les gens ont aimé. Suffisamment pour en faire une suite ?