Critique : Adieu au langage
Ignoré par le
public depuis bientôt un demi-siècle, Jean-Luc Godard jouit encore
auprès de quelques dizaines d'indécrottables fanatiques d'une aura
des
Le propos est simple. Une femme mariée et un homme libre se rencontrent. Ils s'aiment, se disputent, les coups pleuvent. Un chien erre entre ville et campagne. Les saisons passent. L'homme et la femme se retrouvent. Le chien se trouve entre eux. L'autre est dans l'un. L'un est dans l'autre. Et ce sont les trois personnes. L'ancien mari fait tout exploser. Un deuxième film commence. Le même que le premier. Et pourtant pas. De l'espèce humaine on passe à la métaphore. Ça finira par des aboiements. Et des cris de bébé.
Ignoré par le
public depuis bientôt un demi-siècle, Jean-Luc Godard jouit encore
auprès de quelques dizaines d'indécrottables fanatiques d'une aura
des