Nouvelles révélations sur le film Jem et les Holograms
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17 octobre 2014
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17 octobre 2014
Il y a des news qui piquent les yeux et les mains quand on les écrit. Si disserter sur le prochain Marvel peut sembler répétitif et un peu barbant, ce n'est rien comparé à une nouvelle annonce concernant le film Jem et les Holograms.
La série animée des années 80 n'avait été qu'une opération commerciale de grande ampleur d'Hasbro pour lancer une nouvelle gamme de poupées, le résultat n'avait pas vraiment convaincu. Alors qu'on a longtemps cru à une blague de mauvais goût, le film avance bon gré mal gré sous la direction de Jon M. Chu.
La nouvelle du jour, c'est qu'il a même une date de sortie puisqu'Universal prévoit d'inonder les écrans le 23 octobre 2015.
On rappelle que ça parle d'une bande de nanas qui se mettent bien avec Synergy, une I.A. super évoluée qui les transforme en un groupe de rock, Jem et les Holograms, pour combattre les terribles Misfits, des rockeuses un peu douteuses, le tout dans une sombre histoire de succession et d'amour bien sirupeux.
On notera quand même la présence de Juliette Lewis au casting (dont les beugleries devraient nous assurer quelques passages musicaux "autres") et surtout Molly Ringwald, revenante du Breakfast Club (qui est, rappelons-le, le meilleur film du monde) qu'on n'avait plus trop vu depuis quelques années. Et ça, ça fait plaisir.
La série animée des années 80 n'avait été qu'une opération commerciale de grande ampleur d'Hasbro pour lancer une nouvelle gamme de poupées, le résultat n'avait pas vraiment convaincu. Alors qu'on a longtemps cru à une blague de mauvais goût, le film avance bon gré mal gré sous la direction de Jon M. Chu.
La nouvelle du jour, c'est qu'il a même une date de sortie puisqu'Universal prévoit d'inonder les écrans le 23 octobre 2015.
On rappelle que ça parle d'une bande de nanas qui se mettent bien avec Synergy, une I.A. super évoluée qui les transforme en un groupe de rock, Jem et les Holograms, pour combattre les terribles Misfits, des rockeuses un peu douteuses, le tout dans une sombre histoire de succession et d'amour bien sirupeux.
On notera quand même la présence de Juliette Lewis au casting (dont les beugleries devraient nous assurer quelques passages musicaux "autres") et surtout Molly Ringwald, revenante du Breakfast Club (qui est, rappelons-le, le meilleur film du monde) qu'on n'avait plus trop vu depuis quelques années. Et ça, ça fait plaisir.
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