Critique : Nos voisins, les hommes
Commençons par une bête fausse note, avec la traduction du titre original Over The Hedge en plat Nos voisins, les hommes, qui ne rend vraiment pas justice au film
Le printemps est de retour ; la tortue Verne et ses amis sortent d'un long sommeil hivernal. Mais, entre-temps, ô surprise, une grande « chose » verte a poussé à l'orée du bois et envahi leur domaine. Surgit alors le raton laveur RJ, jamais à court de combines et d'explications. Il s'agit, leur dit-il, d'une HAIE, destinée à protéger le domaine enchanté du « Bien-être », habité par les Humains, ces créatures d'un genre particulier qui vivent pour manger, au lieu de manger pour vivre. Le pusillanime Verne, qui se méfie de RJ (et le jalouse un peu), se convainc que lui et sa famille doivent rester de ce côté-ci de la haie - on n'est jamais mieux que sous sa carapace. Mais l'habile RJ persuade les hôtes du bois qu' « ailleurs l'herbe est plus verte », et qu'ils n'ont rien à craindre de leurs nouveaux voisins. Commence alors une grande aventure dans cet étrange univers qu'on appelle « Banlieue ».
Commençons par une bête fausse note, avec la traduction du titre original Over The Hedge en plat Nos voisins, les hommes, qui ne rend vraiment pas justice au film
Les salles de cinéma risquent d'être désertées ce soir (au cas où vous sortez d'un coma, il y a France - Portugal en demi-finale de la Coupe du Monde) mais
Une nouvelle article-details_c-trailers en anglais de Nos voisins les hommes (Over the hedge en VO), le nouveau film d'animation des studios DreamWorks, ainsi qu'une