The Suicide Squad : critique d'une renaissance DC
Après la catastrophe de 2016, James Gunn se charge de redorer le blason de la Suicide Squad. Et il ne le fait pas à moitié.
Bienvenue en enfer - aka Belle Reve, la prison dotée du taux de mortalité le plus élevé des États-Unis d'Amérique. Là où sont détenus les pires super-vilains, qui feront tout pour en sortir - y compris rejoindre la super secrète et la super louche Task Force X. La mission mortelle du jour ? Assemblez une belle collection d'escrocs, et notamment Bloodsport, Peacemaker, Captain Boomerang, Ratcatcher 2, Savant, King Shark, Blackguard, Javelin et la psychopathe préférée de tous : Harley Quinn. Armez-les lourdement et jetez-les (littéralement) sur l'île lointaine et bourrée d'ennemis de Corto Maltese. Traversant une jungle qui grouille d'adversaires et de guerilleros à chaque tournant, l'Escouade est lancée dans une mission de recherche et de destruction, avec le seul Colonel Rick Flag pour les encadrer sur le terrain… et la technologie du gouvernement dans leurs oreilles, afin qu'Amanda Waller puisse suivre le moindre de leurs mouvements. Comme toujours, un faux pas est synonyme de mort (que ce soit des mains de leurs opposants, d'un coéquipier ou de Waller elle-même). Si quelqu'un veut parier, mieux vaut miser contre eux - et contre eux tous.
Après la catastrophe de 2016, James Gunn se charge de redorer le blason de la Suicide Squad. Et il ne le fait pas à moitié.
The Suicide Squad a des airs de remake-reboot de Suicide Squad. Comme si le studio Warner Bros. essayait de définitivement réparer ses erreurs ?
On parle beaucoup de la Suicide Squad de DC, mais Marvel a une équipe tout aussi tordue du côté des X-Men. Et on adorerait la voir au cinéma.
Passé chez Marvel, James Gunn a ensuite accouché de The Suicide Squad pour Warner. Une expérience payante puisqu'il va refaire un autre film pour DC.