Contact : pour le retour du Grand Ecran Large, viens (re)voir le film avec Jodie Foster

La Rédaction | 13 mars 2024

Science-fiction

Ecran Large vous donne rendez-vous le 5 avril 2024 à Paris au Club de l'étoile pour (re)découvrir Contact de Robert Zemeckis.

Ça faisait longtemps, mais Le Grand Ecran Large est bien de retour au Club de l'étoile, à Paris. Le principe ? Organiser une séance de cinéma – suivie d’une animation – autour d'une œuvre qui nous passionne, pour pouvoir en discuter dans la joie et la mauvaise foi.

Et parmi les films qui reviennent souvent dans les conversations de la rédaction, il y a Contact de Robert Zemeckis (qui était d'ailleurs sur notre liste depuis un moment). On est donc très heureux de revenir en fanfare avec cette séance le 5 avril 2024, pour laquelle vous pouvez réserver vos places.

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Ça va être beau (surtout en 35m)

Contact au cinéma... et avec les sales gosses d'Ecran Large

Geoffrey a déjà consacré une vidéo au film de Robert Zemeckis, notamment en le comparant à Interstellar de Christopher Nolan. Les deux films partagent des idées, des thématiques, des inspirations, voire carrément des scènes. Sans Contact, il n'y aurait probablement pas eu Interstellar. Et on va aller encore plus loin : Interstellar et Contact sont quasiment le même film... mais avec deux approches finalement très différentes de la SF.

Conçu comme la réponse intelligente à Independence Day, Contact est le fruit d’une production chaotique. Et comme il a été relativement incompris à sa sortie, Ecran Large avait envie d'organiser cette projection (en 35mm !) pour l’affirmer haut et fort : c’est véritablement un très grand film (de science-fiction, mais pas que).

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On vous donne donc rendez-vous le vendredi 5 avril 2024 à partir de 19h30 (pour un petit apéro d'avant-séance), au Club de l’étoile à Paris (14 rue Troyon, 75017 Paris).

Tout savoir sur Le Grand Ecran Large

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commentaires

Birdy l'inquisiteur
17/03/2024 à 16:00

Déjà le plan d'intro est vertigineux.
Personne n'a oublié non plus la course folle de la gamine vers les médocs au ralenti : un plan qui fait mal à la tête et une leçon de FX intelligents.
J'aime aussi bcp toute la partie recherche "d'autre chose" qui découle sur un branle bas de combat.
La relation avec son ami aveugle aussi. Et cette quête impossible vers son trauma originel.
La fin pas si ouverte que ça, et ce sentiment d'entube du système : nous ne sommes pas prêt.
Mais : quelque peu manicchéen, hélas, et cela se voit dans ses antagonistes. Son supérieur qui lui vole son travail, le terroriste (Busey avait bien la tête de l'emploi)... même McConaughy était trop propre sur lui en prêtre séducteur.
Mais un sentiment d'intelligence permanent berce ce film, qui interroge le spectateur sur ses croyances. Et Jodie Foster avait bien les épaules pour ce genre de rôle. Une femme forte, de conviction, qui transpire l'intelligence, et la soif de curiosité, sous cette fausse fragilité qui fait son charme.